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Les règles du bon usage

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Message par Esculape Mar 7 Déc 2010 - 8:38

Qu’est-ce qu’un médicament ?
Mis à jour : Lundi, 16 Février 2009

Qu’est-ce qu’un médicament ?

Les médicaments sont des produits destinés à prévenir les maladies, à les traiter, parfois même à les déceler. Ils peuvent en combattre la cause - c’est le cas des médicaments antibiotiques contre les infections bactériennes - ou en atténuer les manifestations, comme les médicaments antalgiques utilisés pour soulager la douleur.

Pour être commercialisé en France, un médicament doit avoir obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM), délivrée par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) ou par l’Agence européenne d’évaluation du médicament (EMEA). L’AMM résume les caractéristiques du médicament, sa composition, les maladies qu’il est destiné à soigner ou à prévenir, son mode d’action et ses limites d’utilisation.
Les différentes formes de médicaments
Les médicaments contiennent généralement des substances - ou principes actifs, dont l’effet s’étend à l’ensemble de l’organisme. Il est possible de moduler leur absorption et leur durée d’action en modifiant leur structure chimique, ou en choisissant la forme adéquate.
Les formes orales
comprimé (poudre comprimée enrobée ou non),
comprimé effervescent (poudre comprimée se dissolvant dans l’eau),
comprimé sublingual (poudre comprimée fondant sous la langue),
gélule ou capsule (poudre dans une enveloppe de gélatine),
sirop (solution épaisse et généralement sucrée),
suspension buvable (fines particules solides dans un liquide devant être agité avant l’emploi),
solution buvable (en ampoule),
gouttes buvables (à diluer dans l’eau),
granulés (à faire fondre sous la langue, en homéopathie),
formes LP (à longue durée d’action).
Les formes pour application externe
pommade (grasse),
crème (moins grasse),
gel (non gras, limpide),
lotion (solution à base d’eau ou d’alcool),
poudre,
patch ou dispositif transdermique (dont le principe actif traverse la peau).
Les formes pour le nez, les oreilles ou les yeux
gouttes auriculaires (pour les oreilles),
collyre, gel et pommade ophtalmiques (pour les yeux),
gouttes nasales ou aérosol, à pulvériser dans les narines.
Les formes inhalées
aérosol doseur (gouttelettes à aspirer par la bouche),
dispositif à poudre (poudre à aspirer par la bouche),
solution pour inhalation (à diluer dans l’eau chaude et dont on inhale la vapeur).
Les formes injectables
injection (administrée par seringue),
perfusion (administration lente dans le sang).
Les formes rectales
suppositoire,
mousse,
lavement.
Les formes vaginales
ovule, capsule et comprimé vaginaux (placés dans le vagin pour que les principes actifs libérés agissent localement).Les médicaments listés
Ils sont inscrits sur deux listes distinctes : la liste I ou la liste II. Les médicaments inscrits sur la liste I ne peuvent être délivrés qu’une seule fois par le pharmacien, sauf si le médecin mentionne expressément la possibilité d’un renouvellement sur son ordonnance. La délivrance des médicaments inscrits sur la liste II peut être renouvelée pendant six mois, même si le médecin ne le mentionne pas. A chaque renouvellement, le pharmacien ne délivre que la quantité nécessaire à un mois de traitement, sauf dans le cas des contraceptifs.
Les médicaments sans ordonnance sont-ils de vrais médicaments ?
En France, les médicaments sont tous vendus au public dans des pharmacies (officines et pharmacies hospitalières), qu’ils soient disponibles sur ordonnance ou non. Un médicament, quel qu’il soit, reste un produit à manier avec précaution. Les médicaments dont la prescription par un médecin n’est pas obligatoire, souvent utilisés dans le cadre de l’automédication, ne sont pas anodins et sont soumis aux mêmes règles de surveillance que les médicamen

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Les médicaments des enfants



Mis à jour : Lundi, 16 Février 2009
Sommaire
Qu’est-ce qu’un médicament ?
Les différentes formes de médicaments
Le prix et le remboursement des médicaments
Les médicaments avec et sans ordonnance
Les médicaments des enfants
Les médicaments prescrits aux enfants peuvent être des médicaments spécifiquement pédiatriques ou des médicaments également prescrits aux adultes. Dans ce dernier cas, il est rarement possible de calculer la posologie adaptée à un enfant à partir de celle destinée aux adultes. Des études complémentaires sont alors nécessaires.
Les différents types de médicaments
Selon les connaissances disponibles, on distingue différents types de médicaments :
les médicaments avec autorisation de mise sur le marché pédiatrique, spécifiquement étudiés et autorisés aux enfants ;
les médicaments avec mention pédiatrique, pour lesquels des études cliniques complémentaires ont éclairci les conditions d’usage par les enfants ;
les médicaments sans mention pédiatrique avec posologie en mg/kg, non étudiés dans le détail pour les enfants, mais dont la posologie est formulée pour être facilement adaptée au poids du jeune malade ;
les médicaments pour adultes sans information relative aux enfants, ni conseillés ni déconseillés ; leur usage est à la discrétion du médecin qui s’appuie sur des recommandations professionnelles ou des articles scientifiques pour les prescrire ;
les médicaments contre-indiqués aux enfants en l’absence d’étude spécifique, et qui ne peuvent être utilisés du fait de cette absence d’études, d’articles ou de recommandations ;
les médicaments contre-indiqués aux enfants du fait de risques particuliers, étudiés mais non utilisés car ils font courir des risques aux enfants.
Le choix des médecins
Les médecins préfèrent utiliser les médicaments des deux premières catégories, car leur usage est mieux défini. Cependant, ces médicaments ne représentent qu’une faible part de l’ensemble disponible, car les études cliniques nécessaires pour appartenir à ces catégories sont difficiles à mener (voir ci-dessous). Les praticiens recourent alors parfois aux deux catégories suivantes et s’appuient, pour leur prescription, sur des sources d’information diverses aussi bien que sur leur expérience et celle de leurs collègues.
La difficulté des études cliniques
Les études cliniques nécessaires pour préciser les conditions d’utilisation d’un médicament chez les enfants sont difficiles à mener pour des raisons techniques, économiques et éthiques. En effet, outre la grande variabilité entre les âges qui impose de conduire plusieurs études de front (nouveau-nés, nourrissons, etc.), il n’est pas éthiquement acceptable d’administrer des médicaments à des enfants en bonne santé (comme c’est le cas chez des adultes consentants, et rémunérés pour cela). De plus, les études cliniques pédiatriques coûtent très cher, car elles impliquent le recours à un grand nombre de services hospitaliers pour réunir suffisamment de participants. Pour stimuler la recherche sur les médicaments pédiatriques, un texte réglementaire a été récemment adopté par le Parlement européen. Ce texte vise à soutenir financièrement les laboratoires pharmaceutiques souhaitant mener des études cliniques pédiatriques sur leurs médicaments.
Des présentations particulières
Certains médicaments sont disponibles dans des présentations particulièrement adaptées aux enfants. Des médicaments disponibles pour les adultes sous forme de comprimés ou de gélules sont disponibles pour les enfants sous forme liquide (antibiotiques, par exemple). Ces formes liquides sont plus faciles à avaler, mais également plus faciles à doser grâce à des cuillères, à des pipettes doseuses ou à des compte-gouttes.
Dans certains cas, les pharmaciens d’hôpitaux ou d’officines peuvent modifier la présentation d’un médicament au cas par cas, pour le rendre plus facile à avaler. Un comprimé trop gros pour un enfant, par exemple, peut être broyé et conditionné en plusieurs petites gélules. Ce type de modification ne peut être fait que par un professionnel : il est fortement déconseillé de broyer un comprimé ou de vider une gélule dans des aliments sans en parler d’abord à son médecin ou à son pharmacien. En effet, certains médicaments sont enrobés pour être résistants aux acides de l’estomac et n’être libérés qu’une fois dans l’intestin. Briser, ou supprimer cet enrobage peut nuire à leur efficacité ou provoquer des effets indésirables.
Demandez à votre médecin ou votre pharmacien de vous préciser si le médicament doit être administré à jeun (une heure avant ou deux heures après un repas) et si certains aliments doivent être évités au moment de la prise. Les produits laitiers, par exemple, peuvent interférer avec certains médicaments. Les aliments déconseillés peuvent alors être donnés à distance des prises.



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Message par Esculape Mar 7 Déc 2010 - 8:44

BIEN UTILISER LES MEDICAMENTS.
Ce site respecte les principes de la charte HONcode. Vérifiez ici.
Bien utiliser les médicaments



Mis à jour : Jeudi, 22 Janvier 2009
Lorsque l’on prend un traitement médicamenteux, il est important de respecter les consignes du médecin et d’éviter les erreurs qui pourraient provoquer des effets indésirables ou atténuer les effets du traitement.
Huit erreurs à éviter :
Négliger l’apparition d’effets indésirables
Lorsque des symptômes inhabituels, même mineurs, apparaissent après quelques jours ou quelques semaines de traitement, il est important de les signaler à son médecin. Celui-ci pourra donner des conseils afin de les soulager ou décider de modifier le traitement.
Consommer de l’alcool ou des drogues
L’alcool et les drogues interagissent fortement avec les médicaments, en particulier ceux destinés à soigner les troubles psychiques. Ils peuvent perturber leur action et déséquilibrer un traitement jusque-là efficace et bien toléré. Ils sont parfois à l’origine de rechutes. Le tabac peut également interférer avec certains traitements.
Modifier la posologie de son propre chef
La posologie établie par le médecin ne doit pas être modifiée sans l’accord de ce dernier. Diminuer la posologie dans le but de réduire un effet indésirable peut entraîner une rechute. Augmenter les doses parce que l’on a l’impression que le médicament perd de son efficacité peut se révéler dangereux.
Oublier de signaler son traitement
Pour éviter les interactions médicamenteuses, il est indispensable de signaler tous les médicaments que l’on prend (y compris les contraceptifs) à tous les médecins consultés, à son dentiste et à son pharmacien. En cas d’accident ou d’urgence, il faut également les signaler aux équipes d’intervention.
Laisser traîner ses médicaments
De nombreux médicaments, et en particulier ceux utilisés dans le traitement des troubles psychiques, peuvent être dangereux pour les enfants. Ils doivent être rangés dans une armoire fermée à clef, si possible en hauteur. En aucun cas ils ne doivent traîner sur une table de nuit, une étagère ou dans des tiroirs non verrouillés.
Absorber un médicament périmé
La date limite d’utilisation (date d’expiration) des médicaments est indiquée sur l’emballage. Il faut éviter de consommer des médicaments périmés, leur efficacité pouvant être réduite ou leur toxicité accrue. Lorsqu’un médicament est périmé, mieux vaut l’apporter à son pharmacien pour qu’il soit détruit sans nuire à l’environnement.
Partager son traitement
Un traitement est prescrit à un patient précis à un moment donné de son suivi médical. Les médicaments, quels qu’ils soient, ne doivent pas être partagés avec une autre personne, même s’ils semblent anodins ou que les symptômes observés se ressemblent. Un médicament bien toléré par un patient peut se révéler toxique pour une autre personne.
Acheter des médicaments sur internet
Aujourd’hui, de nombreuses personnes recherchent sur internet des informations relatives à leur santé. Certains sites, en particulier anglophones, peuvent mentionner des médicaments non commercialisés en France ou en Europe. Certains vont jusqu’à proposer de fournir ces médicaments, avec ou sans ordonnance.
S’il est possible que ces médicaments existent en France sous une appellation différente, il se peut également qu’ils n’aient pas rempli les conditions d’efficacité et de sécurité requises pour être commercialisés en Europe. Lorsque l’on s’interroge sur l’utilité d’un médicament pour son cas personnel, il est préférable d’en parler à son médecin. Ne cédez jamais à la curiosité et évitez de prendre les produits vantés sur internet (y compris les compléments alimentaires ou les produits dits naturels) sans en parler auparavant à votre médecin traitant.

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Message par Esculape Mar 7 Déc 2010 - 8:45

BIEN UTILISER LES MEDICAMENTS.
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Bien utiliser les médicaments



Mis à jour : Jeudi, 22 Janvier 2009
Lorsque l’on prend un traitement médicamenteux, il est important de respecter les consignes du médecin et d’éviter les erreurs qui pourraient provoquer des effets indésirables ou atténuer les effets du traitement.
Huit erreurs à éviter :
Négliger l’apparition d’effets indésirables
Lorsque des symptômes inhabituels, même mineurs, apparaissent après quelques jours ou quelques semaines de traitement, il est important de les signaler à son médecin. Celui-ci pourra donner des conseils afin de les soulager ou décider de modifier le traitement.
Consommer de l’alcool ou des drogues
L’alcool et les drogues interagissent fortement avec les médicaments, en particulier ceux destinés à soigner les troubles psychiques. Ils peuvent perturber leur action et déséquilibrer un traitement jusque-là efficace et bien toléré. Ils sont parfois à l’origine de rechutes. Le tabac peut également interférer avec certains traitements.
Modifier la posologie de son propre chef
La posologie établie par le médecin ne doit pas être modifiée sans l’accord de ce dernier. Diminuer la posologie dans le but de réduire un effet indésirable peut entraîner une rechute. Augmenter les doses parce que l’on a l’impression que le médicament perd de son efficacité peut se révéler dangereux.
Oublier de signaler son traitement
Pour éviter les interactions médicamenteuses, il est indispensable de signaler tous les médicaments que l’on prend (y compris les contraceptifs) à tous les médecins consultés, à son dentiste et à son pharmacien. En cas d’accident ou d’urgence, il faut également les signaler aux équipes d’intervention.
Laisser traîner ses médicaments
De nombreux médicaments, et en particulier ceux utilisés dans le traitement des troubles psychiques, peuvent être dangereux pour les enfants. Ils doivent être rangés dans une armoire fermée à clef, si possible en hauteur. En aucun cas ils ne doivent traîner sur une table de nuit, une étagère ou dans des tiroirs non verrouillés.
Absorber un médicament périmé
La date limite d’utilisation (date d’expiration) des médicaments est indiquée sur l’emballage. Il faut éviter de consommer des médicaments périmés, leur efficacité pouvant être réduite ou leur toxicité accrue. Lorsqu’un médicament est périmé, mieux vaut l’apporter à son pharmacien pour qu’il soit détruit sans nuire à l’environnement.
Partager son traitement
Un traitement est prescrit à un patient précis à un moment donné de son suivi médical. Les médicaments, quels qu’ils soient, ne doivent pas être partagés avec une autre personne, même s’ils semblent anodins ou que les symptômes observés se ressemblent. Un médicament bien toléré par un patient peut se révéler toxique pour une autre personne.
Acheter des médicaments sur internet
Aujourd’hui, de nombreuses personnes recherchent sur internet des informations relatives à leur santé. Certains sites, en particulier anglophones, peuvent mentionner des médicaments non commercialisés en France ou en Europe. Certains vont jusqu’à proposer de fournir ces médicaments, avec ou sans ordonnance.
S’il est possible que ces médicaments existent en France sous une appellation différente, il se peut également qu’ils n’aient pas rempli les conditions d’efficacité et de sécurité requises pour être commercialisés en Europe. Lorsque l’on s’interroge sur l’utilité d’un médicament pour son cas personnel, il est préférable d’en parler à son médecin. Ne cédez jamais à la curiosité et évitez de prendre les produits vantés sur internet (y compris les compléments alimentaires ou les produits dits naturels) sans en parler auparavant à votre médecin traitant.

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Message par Esculape Mar 7 Déc 2010 - 9:03

Mettre les gouttes dans les oreilles d'un enfant.
Les gouttes pour les oreilles sont utilisées dans le traitement des maladies qui touchent la partie externe de l’oreille, du pavillon au tympan. Les affections situées en arrière du tympan sont habituellement traitées par voie orale ou par injections.
Comment se préparer ?
Les gouttes pour les oreilles doivent toujours être administrées tièdes. En effet, outre le désagrément, des gouttes trop froides peuvent provoquer des nausées et des vertiges. Pour les réchauffer, la méthode la plus simple consiste à faire rouler le flacon dans ses mains pendant quelques minutes.
Couchez votre enfant sur le côté, l’oreille à traiter vers le haut, la tête soutenue par un oreiller. Maintenez-lui la tête doucement. Si nécessaire, enlevez de l’oreille le cérumen ou le liquide qui pourrait s’y trouver.
Comment s’assurer que les gouttes pénètrent jusqu’au tympan ?
La façon de procéder dépend de l’âge de l’enfant :
s’il a moins de trois ans, tirez doucement le lobe de l’oreille (le bas de l’oreille) vers le cou puis vers l’arrière de la tête ;
s’il a plus de trois ans, tirez doucement le pavillon de l’oreille (le haut de l’oreille) vers le sommet du crâne puis vers l’arrière de la tête.
Ensuite, insérez l’embout du flacon dans l’oreille et dirigez son extrémité vers les parois du conduit auditif (jamais vers le tympan). Pressez pour verser trois à cinq gouttes de produit dans l’oreille ou jusqu’à ce qu’elle soit remplie. Retirez l’embout et laissez l’enfant dans cette position pendant quelques minutes. Ne mettez pas de coton dans l’oreille car il absorberait trop de liquide. Essuyez l’excédent qui coule lorsque l’enfant se met debout.

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Message par Esculape Mar 7 Déc 2010 - 9:07

Utiliser une chambre d’inhalation chez un enfant



Mis à jour : Mercredi, 28 Janvier 2009

Les chambres d’inhalation sont des dispositifs qui permettent d’administrer un aérosol à un enfant trop petit pour effectuer les gestes nécessaires à l’usage de ce type de traitement. Les chambres d’inhalation sont souvent désignées par leur nom de marque. Pour vous y retrouver, en voici quelques-uns : Babyhaler, Aérochamber Plus, Vortex, Nébuhaler, AbleSpacer, Aéroscopic, etc. Chacune de ces chambres s’utilise selon des modalités particulières indiquées dans son mode d’emploi.
Le bon usage des aérosols doseurs
Les aérosols doseurs sont les petits dispositifs dont se servent, par exemple, les personnes asthmatiques pour s’administrer leur traitement. Une pression sur le doseur libère une dose de médicament qui est immédiatement inspirée et retenue dans les poumons pendant quelques secondes. Les bébés ne sont pas capables de coordonner leur inspiration avec la dose et de retenir leur respiration. Les chambres d’inhalation permettent d’utiliser les aérosols doseurs chez ces tout-petits.
Comment utiliser une chambre d’inhalation ?
La chambre d’inhalation est une sorte de gros tube en plastique transparent. L’une de ses extrémités se place sur le nez et la bouche du bébé, comme un masque (seulement sur la bouche chez les enfants assez grands pour respirer par la bouche). A l’autre extrémité, on fixe l’aérosol doseur. Une pression sur l’aérosol libère le médicament dans la chambre où il est progressivement inspiré par le bébé. Lorsque l’enfant est plus grand, on peut lui demander de respirer profondément plusieurs fois, en retenant éventuellement sa respiration pendant quelques secondes après chaque inspiration. L’enfant ne doit pas inspirer trop violemment : un sifflement de l’air entrant dans la chambre signifie que la respiration est trop forte ou trop rapide.
Comment entretenir une chambre d’inhalation ?
La chambre d’inhalation doit être lavée tous les sept à dix jours, et changée si elle est cassée ou très abîmée. De l’eau tiède légèrement savonneuse suffit pour la laver : remplissez la chambre à moitié et agitez-la, sans frotter l’intérieur. Rincez-la ensuite à l’eau claire et faites-la sécher à l’air libre sans la frotter. Certaines chambres d’inhalation ont des conditions d’entretien particulières. Lisez la notice avant de les entretenir

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Message par Esculape Mar 7 Déc 2010 - 9:13


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Mettre des gouttes dans le nez d’un petit enfant



Mis à jour : Mercredi, 28 Janvier 2009

Les gouttes administrées dans le nez ne sont pas très bien tolérées par les nouveau-nés ni par les nourrissons les plus jeunes. Habituellement, on les réserve aux enfants plus grands. Le médecin peut en prescrire lors de rhinopharyngites.
Comment se préparer ?
Mouchez votre enfant. S’il est assez grand pour comprendre, prévenez-le que les gouttes peuvent passer dans le fond de la gorge. Plusieurs positions de l’enfant permettent de les lui administrer :
dans vos bras, la tête penchée en arrière, son bras autour de votre corps, l’autre tenu doucement par votre main libre ;
couché sur le dos avec un petit oreiller sous les épaules et la tête en arrière ;
couché sur le dos au bord du lit, la tête penchée vers l’arrière ;
assis, la tête penchée en arrière.
Comment les administrer ?
S’il est assez grand pour comprendre, demandez à votre enfant de respirer par la bouche. Insérez doucement l’extrémité du flacon ou du compte-gouttes dans une narine, si possible sans la toucher. Ne l’enfoncez pas de plus d’un centimètre. Versez le nombre de gouttes prescrit et veillez à ce que l’enfant garde la tête penchée en arrière pendant au moins cinq minutes. Lorsqu’il se redresse, laissez-le cracher le liquide qui a coulé dans sa bouche. S’il tousse, mettez-le immédiatement en position assise et surveillez sa respiration. Il est préférable d’éviter de moucher l’enfant pendant quelques minutes pour laisser le produit en contact avec les fosses nasales. Après usage, rincez le compte-gouttes ou la pipette à l’eau chaude et séchez-les.
Les aérosols administrés par le nez
Certains médicaments ou solutions de lavage des fosses nasales sont disponibles en spray (aérosol) administré par le nez. Pour les utiliser, bouchez une narine de l’enfant et demandez-lui d’inspirer au moment où vous effectuez une pression sur le flacon. La plupart de ces aérosols s’utilisent sans que l’enfant ne tienne sa tête en arrière : vérifiez le mode d’emploi sur la notice.


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Faire des injections à un enfant



Mis à jour : Mercredi, 28 Janvier 2009

Faire des injections à un enfant
Parfois, un enfant doit recevoir régulièrement des injections sous-cutanées (sous la peau). C’est le cas, par exemple, des enfants souffrant de diabète. Dans ce cas, les parents qui le souhaitent peuvent apprendre à faire ces injections, plutôt qu’avoir systématiquement recours à une infirmière à domicile, en fin de semaine par exemple. Si, au début, faire une injection est souvent impressionnant, la pratique tend à en faire un geste de soins comme les autres. A partir d’un certain âge, les enfants diabétiques maîtrisent ce geste qui est simplifié par l’usage de stylos injecteurs. Si vous souhaitez apprendre, demandez conseil à votre médecin ou à votre infirmière qui vous apprendra les bonnes habitudes en termes d’hygiène et de technique.

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