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A méditer!!!!!!!!!!!!!
3 participants
A méditer!!!!!!!!!!!!!
Soumis par Anonyme le ven, 2011-04-08 13:01
Dire que la langue arabe est une langue pure ...c'est mentir à rougir de honte..Quand on sait que même les parents de mahomet qui parlaienttourt comme leur fils le syriaque , tous païens d'ailleurs.Quant au sacré même la vache indiene est sacrée..La supercherie des arabo-islamique ce vérifie d'annéee en année .On découvvre que tout est biaisé tellement ce qui touche à l'histoire et culture sont truffés de mensonges et de dissimulation..La langue la plus emptunte de mots étrangers n'est autre quel la langue emprunte du fait des conquêtes où on a usurper ou traduit les termes des langues des autochtones conquis. Avec cç on nous parle de langue pure venu d'un Dieu qui fait fi de toutes les autres pour embrasser la dernière.Dans l'imposture les magouilles etc..nous connaissons leusr capacités.le coran contient dans son texte des mots qui proviennent des autres langues comme :" l’hébreu, l’indien, le perse, l’éthiopien, Tamaziɣt, le latin, le copte, le grec et le syriaque. » .Exemple de ces mots étrangers : · « Tafaq’a » est un mot amazigh qui veut dire « projeté ». Voir la surate Alâraf, verset 22. · « Al toar » est un mot syriaque qui veut dire « la montagne ». Voir la surate Al baqarah, verset 63 (la vache). · « Al raq’im » est un mot amazigh qui veut dire « la plaque ». Voir la surate Al kahf, verset 9 (la caverne). · « Taha » est un mot hébreu. Voir la surate Taha. · « Senin » est un mot hébreu qui veut dire « joli ». · «Assijjîl » est un mot perse qui veut dire « le livre ». Voir la surate Al anbiya, verset 104 (les prophètes). · « Al lstabrek » est un mot perse qui veut dire « épais ». Voir la surate Al dukhane, verset 53 (la fumée). · « Al sundus » est un mot indien qui veut dire « le rideau transparent ». Voir la surate addukhane verset 53 (la fumée). · « Sariah » est un mot grec qui veut dire « le ruisseau ». Voir la surate de Maryam, verset 24 (Marie). · « Mechkat » est un mot éthiopien qui veut dire « trou dans le mur ». Voir la surate Al nnur (la lumière). · « Juhannam » est un mot hébreu qui veut dire « l’enfer ». Voir la surate Al anfal, verset 36 (le butin). · « Al zakat » est un mot hébreu qui veut dire « la taxe sur l’argent ». · « Sajjîl » est un mot perse qui veut dire « la boue caillouteuse ». · « Adduria » est un mot éthiopien qui veut dire « la planète lumineuse ». · « Nachit Alaîl » est un mot éthiopien qui veut dire « l’insomniaque ». Voir la surate Al muzammil, verset 6 (l’emmitouflé). · « Keflain » est un mot éthiopien qui veut dire « deux plis». Voir la surate Alhadid, verset 28 (le fer). · « Al Q’swara » est un mot éthiopien qu veut dire « le lion ». Voir la surate Al muddattir, verset 51 (l’enveloppé). · « Al melah al oukhra » est un mot copte qui veut dire « la première religion ». Voir la surate saad, verset 7. · « Wara’houm » est un mot copte qui veut dire « aux trousses ». Voir la surate Al kahf (la caverne). · « Bata’nha » est un mot copte qui veut dire « regard externe ». Voir la surate Al rahmane, verset 53 (le gracieux). · « Uho’d » est un mot hébreu qui veut dire « un ». · « Assamad » est un mot hébreu qui veut dire « inclus tous les caractères ». · « Abareeq » est un mot perse qui veut dire « les récipients ». Voir la surate Al waqiah, verset 18. · « Injil » est un mot grec qui veut dire « annonciation ». · « Tabout » est un mot copte qui veut dire « cercueil ». · « Saradeq » est un mot perse qui veut dire « la tente ». · « Surah » est un mot syriaque qui veut dire « le chapitre ». · « Al Firdouss » est un mot perse qui veut dire « le jardin ». · « Attaghout » est un mot éthiopien qui veut dire « les opposés ». · « Maôun » est un mot hébreu qui veut dire « la marmite »(.ameney)Et voilà la langue pure ...Une sacré arnaques.
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
Les termes persans dans le Coran
-Abarigh (pluriel d'Abrigh); Estabragh; Tanour; Djahanam; Dinar; Al Rass; Al Rome; Zandjébil;
Sédjil; Saradégh; Saghar; Salsabil; Sndass; Ghofl; Kafour; Kanz; Kourte; Madjous; Mardjan; Mask; Maghalid; Mazdjah; Né; Houd; Yagoute; Al Yahoud.
Les termes abyssins (éthiopiens)
-Ela Raéc; Avâh; Avâb; Al Djabt; Horm (haram); Haub; Dôrï; Sïnïn; Shatre; Tâhâ; Tâghoute; Al Eram; Ghéise; Ghoureh; Kafle; Machcouh; Mansâh; Nachééh; Yassin; Yassdon.
Quelques termes romains dans le Coran
-Sérâte; Tafagh; Ferdôs; Ghéste; Ghéstass.
Quelques termes syriens dans le Coran
-Yam (Al Yam); Houn; Ghouyoum; Addan; Toure.
Quelques termes juifs (hébraïques) dans le Coran
-Akhlad; Baïre; Raéna; Al Rahmân; Tavâ; Marghoum; Hodnâ; Ghamle.
Quelques termes nabatéens dans le Coran
Varz; Varâ; Malakoute; Côfre; Ghat; Mazhan; Sinâé; Sôfréh; Havâriyoun; Hasbe; Akvab; Asphar; Al; Alîm.
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
Le vocabulaire grec dans le Coran.
Pyrgos (tour , fort) =>BURUJ (id).101
Diabolos (Diable)=>IBLIS (id).
Drakhmè (drachme)=>DARAHIM (id).
Paradeisos (Paradis)=>FIRDAWS (id).
Hodos (route)=> HUDA (voie du salut)102 .
Euuangelia (Evangile)=>INGIL (id).
Magos (mage , mazdéen)=>MAJUS (id).
Kleida (clé)=>MAQALID (id).
Margaritès (corail)=>MARGAN (id).
Kalamos (roseau)=> KALAM (stylet).
Khartès (papier)=> QIRTAS (rouleau de parchemin)103 .
Xestès (mesure)=>QIST (équité).
Xestès (mesure)=>QASTAS (id).
Khronon104 (temps)=>QURUN (siècles).
Rhègma (déchirure)=RAQIM (gouffre).
Sèma (signe)=> SIMIYA (id).
Tekhnè (art)=>ATQAN (fabriquer avec art).
Historia (Histoire)=>USTURA (légende , histoire ancienne).
Hyakinthos (Jacynthe)=>YAQUT (id).
Ziggigeris (gingembre)=>ZANJABIL (id).
Zôgraphia (tableau)=> ZUKHRUF (id).
? (tapisserie?)105 => ISTABRUQ (brocard)106 .
Le vocabulaire latin dans le Coran.
Denarius (denier) =>DINAR (id).107
Romani (Romains)=>RUM (id).
Sigillium (sceau)=> SIJJIL (id)108 .
Cupa (coupe)=>AKWABUN109 (cratère)110.
Stratum (rue)=>SIRATA (voie)111 .
Centenarium (poids de cent livres)=> QINTAR (unité de valeur métallique
_________________
Pyrgos (tour , fort) =>BURUJ (id).101
Diabolos (Diable)=>IBLIS (id).
Drakhmè (drachme)=>DARAHIM (id).
Paradeisos (Paradis)=>FIRDAWS (id).
Hodos (route)=> HUDA (voie du salut)102 .
Euuangelia (Evangile)=>INGIL (id).
Magos (mage , mazdéen)=>MAJUS (id).
Kleida (clé)=>MAQALID (id).
Margaritès (corail)=>MARGAN (id).
Kalamos (roseau)=> KALAM (stylet).
Khartès (papier)=> QIRTAS (rouleau de parchemin)103 .
Xestès (mesure)=>QIST (équité).
Xestès (mesure)=>QASTAS (id).
Khronon104 (temps)=>QURUN (siècles).
Rhègma (déchirure)=RAQIM (gouffre).
Sèma (signe)=> SIMIYA (id).
Tekhnè (art)=>ATQAN (fabriquer avec art).
Historia (Histoire)=>USTURA (légende , histoire ancienne).
Hyakinthos (Jacynthe)=>YAQUT (id).
Ziggigeris (gingembre)=>ZANJABIL (id).
Zôgraphia (tableau)=> ZUKHRUF (id).
? (tapisserie?)105 => ISTABRUQ (brocard)106 .
Le vocabulaire latin dans le Coran.
Denarius (denier) =>DINAR (id).107
Romani (Romains)=>RUM (id).
Sigillium (sceau)=> SIJJIL (id)108 .
Cupa (coupe)=>AKWABUN109 (cratère)110.
Stratum (rue)=>SIRATA (voie)111 .
Centenarium (poids de cent livres)=> QINTAR (unité de valeur métallique
_________________
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
ça confirme que le coran a été envoyé pour tout le monde alors, et c'est la dernière révélation qui doit être suivie!!
wahrani- Tonique
- Nombre de messages : 360
Localisation : Oran
Date d'inscription : 25/07/2008
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
Et encore???
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
je pensais que le Qoran etait en langue arabe claire(pure)??
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
SÉLECTION DE TERMES DU CORAN
Il s’agit de termes portant la marque de l’araméen
et parvenus dans les langues européennes
MOTS DU LEXIQUE RELIGIEUX
aslama / salām
al-Acrāf
Allāh
umma
āmana
aya
bāraka
tafsir
jizya
ḥūr
dīn
al-Raḥmān
zabāniyya
zakat
šuhadā’
Šayṭān
Šicrā
ṣūra
cid
Qur’ān
kursiyy
nabiyy
naṣārā
MOTS DU LEXIQUE COMMUN
bāb
burj
biya
tābūt
tannūr
ḥikma
ḫubz
dirham
dinār
rumman
al-Rūm
zawj
zayt
sulṭān
al-Šicra
fulk
fīl
qaṣr
qalam
qamīṣ
qintār
kāfūr
madīna
miskīn
milla
manna
NB : En grisé les mots qui pour Jeffery ne sont pas d’origine sémitique.
Il s’agit de termes portant la marque de l’araméen
et parvenus dans les langues européennes
MOTS DU LEXIQUE RELIGIEUX
aslama / salām
al-Acrāf
Allāh
umma
āmana
aya
bāraka
tafsir
jizya
ḥūr
dīn
al-Raḥmān
zabāniyya
zakat
šuhadā’
Šayṭān
Šicrā
ṣūra
cid
Qur’ān
kursiyy
nabiyy
naṣārā
MOTS DU LEXIQUE COMMUN
bāb
burj
biya
tābūt
tannūr
ḥikma
ḫubz
dirham
dinār
rumman
al-Rūm
zawj
zayt
sulṭān
al-Šicra
fulk
fīl
qaṣr
qalam
qamīṣ
qintār
kāfūr
madīna
miskīn
milla
manna
NB : En grisé les mots qui pour Jeffery ne sont pas d’origine sémitique.
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
La copier-coller d'un autre forum n'est pas de nos principes!!
http://www.kabyle.com/comment/37515#comment-37515
Il faudra authentifier Le posteur, et ses références bien sur!!!!
http://www.kabyle.com/comment/37515#comment-37515
Il faudra authentifier Le posteur, et ses références bien sur!!!!
wahrani- Tonique
- Nombre de messages : 360
Localisation : Oran
Date d'inscription : 25/07/2008
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
wahrani a écrit:La copier-coller d'un autre forum n'est pas de nos principes!!
http://www.kabyle.com/comment/37515#comment-37515
Il faudra authentifier Le posteur, et ses références bien sur!!!!
oui t'as raison, psk finalement chacun est responsable de ses opinions
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
Commme par hasard il n'y a personne pour faire des recherches ou repondre.Et pourtant tout cela est vrai .
Cheikh Si Hamza Boubakeur dit la meme chose dans sa traduction du Coran en 05tomes(ENAG).
Ce n'est pas en repondant ainsi que vous allez vous en sortir.
Je vous provoque et vous battez en retraite comme une meute en déroute.
Vous usez d'insultes racistes.
C'est lache.
J'aurais souhaité une réponse intelligente.Wallou.Un bouzellouf khaoui!!!!!!!
Cheikh Si Hamza Boubakeur dit la meme chose dans sa traduction du Coran en 05tomes(ENAG).
Ce n'est pas en repondant ainsi que vous allez vous en sortir.
Je vous provoque et vous battez en retraite comme une meute en déroute.
Vous usez d'insultes racistes.
C'est lache.
J'aurais souhaité une réponse intelligente.Wallou.Un bouzellouf khaoui!!!!!!!
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
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Les termes non arab dans le Coran
les mots étrangers
Le prophète d'Islam eut quelques conseillers importants qui l'ont aidé dans la formation de la révolution et jusqu'à l'élaboration de son idéal-type. Malgré ce que l'on apprend dans le Coran, à savoir que ce livre fut révélé en langue arabe, mais que d'autres mots, issus des langues civilisées de cette époque s'y rencontrent. Ces mots sont probablement les propos de proches amis du prophète de l'Islam, originaires d'autres pays, et jouant un rôle certain dans les décisions et les poèmes du prophète de l'Islam. Ces proches amis furent à de nombreuses occasions ils furent d'avoir recours aux mots de leur propre langue pour s'exprimer clairement. Ces mots furent ensuite "arabisés", c'est-à-dire qu'ils se placèrent naturellement dans le cadre de la grammaire arabe.
Comme nous en avons déjà évoqué quelques exemples, une fois que le nouveau style du prophète de l'Islam dans la création du Coran se fut installé parmi les Musulmans de l'époque, il devint évident que ses proches amis pouvaient faire de la poésie, et du discours, tout comme lui, à l'instar des quatrains de Khayam , des odes de Haféz ou de la poésie moderne de Nimâ (Nimâ est un poète contemporain, nommé le Père de la Poésie Moderne Persane). Si quelqu'un connaît bien Khayam et Haféze, et possède un talent poétique, il peut, en les prenant comme modèles, faire de la poésie dans le même style. Depuis toujours, ce phénomène n'a été connu dans le monde littéraire qu'une fois un style inventé, les autres ayant alors pu s'en servir pour faire de la poésie dans la même tournure.
Les termes persans dans le Coran
-Abarigh (pluriel d'Abrigh); Estabragh; Tanour; Djahanam; Dinar; Al Rass; Al Rome; Zandjébil;
Sédjil; Saradégh; Saghar; Salsabil; Sndass; Ghofl; Kafour; Kanz; Kourte; Madjous; Mardjan; Mask; Maghalid; Mazdjah; Né; Houd; Yagoute; Al Yahoud.
Les termes abyssins (éthiopiens)
-Ela Raéc; Avâh; Avâb; Al Djabt; Horm (haram); Haub; Dôrï; Sïnïn; Shatre; Tâhâ; Tâghoute; Al Eram; Ghéise; Ghoureh; Kafle; Machcouh; Mansâh; Nachééh; Yassin; Yassdon.
Quelques termes romains dans le Coran
-Sérâte; Tafagh; Ferdôs; Ghéste; Ghéstass.
Quelques termes syriens dans le Coran
-Yam (Al Yam); Houn; Ghouyoum; Addan; Toure.
Quelques termes juifs (hébraïques) dans le Coran
-Akhlad; Baïre; Raéna; Al Rahmân; Tavâ; Marghoum; Hodnâ; Ghamle.
Quelques termes nabatéens dans le Coran
Varz; Varâ; Malakoute; Côfre; Ghat; Mazhan; Sinâé; Sôfréh; Havâriyoun; Hasbe; Akvab; Asphar; Al; Alîm.
Les destructeurs du Coran
Le débat ayant trait aux destructeurs (nassékh) et aux destructions (mansoukh) est un des principaux problèmes de l'Islam et du Coran. Problème qui fut négligé jusqu'ici et comme cela a été évoqué plus loin, le prophète d'islam, lui-même, avait envisagé de rassembler son livre (le Coran) en vue de déterminer, ou d'éliminer, les versets destructeurs ainsi que les versets détruits, et l'on a dit que dans le Coran d'Imam Ali ce problème avait été pris en compte. C'est un sujet évident et clair. Car comme nous l'avons dit, Mohammad a admis un bon nombre de traditions datant de l'obscurantisme arabe, et nous verrons plus loin à quel point, par obligation, il se comportait avec respect à l'égard des Quoriche et de leurs rites. Et que donc s'il avait pu, il aurait abrogé beaucoup de traditions et de pratiques de l'obscurantisme arabe, qui subsistent jusqu'à aujourd'hui, époque de civilisation et de technologie.
Mais, à propos de la question des versets destructeurs et détruits, de nombreux livres furent écrits. Nous ferons allusion à trois de leurs grands auteurs, et qui ont écrit des centaines de pages sur ce sujet :
1 - Al Nasékh va Mansoukh - ( abrogatif et abrogé) œuvre de Hadjaj al Our
2 - Nasékh et Mansoukh kodamand-(Quels sont l'abrogatif et l'abrogé ) - oeuvre d'Abd al Rahman Ibn Zéid
3 - Le livre d'Abi Isshagh Ibrahim al Moadab à propos des versets destructeurs et détruits.
citer des extraits du livre, L'islam top secret!! Regard Critique Sur l’Islam ! : ABBASI David Hassan, Siyavash AWESTA
Esculape- Panacée
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Date d'inscription : 14/09/2010
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
Les sources sont claires????
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
Le Coran et les mots étrangers
Le Coran et les mots étrangers
Par IslamPaix
Synthèse de l'objection:
Le Coran est en arabe "pur" (16 :103) pourtant, il comporte un certain nombre de mots étrangers, d'origines non-arabes ! N'est-ce pas une contradiction ? Ou la preuve de l'influence de sources étrangères sur le Coran?
Cette question rhétorique beaucoup de des critiques, essayistes et polémistes anti-islam la posent.
Par exemple, le père Guy Pages, abbé du diocèse de Paris adresse une question aux musulmans :
Si le Coran est censé être descendu du ciel en un arabe parfait (12,2 : 26 :185…) pourquoi 107 et 275 mots ne sont-il pas arabes ? [1]
Egalement Jochen Katz, missionnaire chrétien, écrit :
Troisièmement, en dépit du fait que 16:03 dit "ceci est l'arabe, pur et clair" - une déclaration qui est censée réfuter ceux qui disent que Muhammad a appris son message d'un enseignant humain qui ne parlait pas couramment l'arabe -, le Coran contient des mots et des expressions qui appartiennent à d'autres langues. Voici juste deux des nombreux exemples:
"Pharaon" provient de la langue Egyptienne et signifie roi ou potentat. Le mot pour "roi" en langue Arabe est différent.
"Injîl", qui signifie "Evangile" = Bonne nouvelle, provient de la langue Grecque. Le mot correct en Arabe est "bisharah". [2]
Des assertions similaires ont été avancées par l'universitaire Allemand, Gerd R. Puin et d'autres orientalistes. Ect… Ect… la liste est longue. Le présent et bref article a pour but de répondre à leurs préoccupations.
Notons que :
1. En fait, l'allégation provient d'une incompréhension du verset 16/103 :
Et Nous savons parfaitement qu'ils disent : "Ce n'est qu'un être humain qui lui enseigne (le Coran)". Or, la langue de celui auquel ils font allusion est étrangère [non arabe], etcelle-ci est une langue arabe bien claire. (Coran, 16 : 103)
"'Arabiyyin mubîn" ne signifie pas en "arabe pur" mais se réfère à la clarté, à l'éloquence.
Ibn Kathîr écrit dans Tafsir Al-Qur'an Al-Azim:
La langue de celui auquel ils font allusion est étrangère [non arabe], et celle-ci est une langue arabe bien claire signifie, comment se pourrait-il que ce Coran avec son style éloquent et ses sens parfait, qui est plus parfait que n'importe quel livre révélé à tout prophète envoyé précédemment, provienne d'un étranger qui parle à peine la langue ? Personne ayant une quantité moindre de bon sens ne ne dirait une telle chose. [3]
Et Allâh dit :
"Voilà la création de Dieu. Montrez-Moi donc ce qu'ont créé, ceux qui sont en dehors de Lui ?" Mais les injustes sont dans un égarement évident (dalalim mubîn).
Par conséquent, il est évident que mubîn se réfère à quelque chose de clair, évident. Il n'y a pas de doute au sujet du Coran, que ce soit au sujet de son origine, de ses implications pour l'humanité, ses lois, sa direction - tout cela est clair et simple. Muhammad Asad a écrit à cet égard :
L'adjectif participial mubin peut connoter un attribut du nom qu'il qualifie (« clair », « manifeste », « évident », ect…) aussi bien que sa fonction (« clarifiant», « manifestant », i.e, la vérité), chacune de ses significations est dictée par le contexte. Selon l'opinion consensuelle, ses deux sens sont compris dans l'exemple ci-dessus ; en conséquence, une phrase composée est nécessaire pour rendre l'expression appropriée.
Ainsi, ledit verset ne signifie pas que le Coran est en arabe pur mais en arabe clair, compréhensif. Il est évident que le Coran est linguistiquement à la fois clair et éloquent, comme l'écrivain non-musulman, John Naish en témoigne :
Le Coran dans sa parure originale arabe a une beauté et un charme qui lui sont propres. Conçu avec un style concis et exalté, ses phrases brèves, chargées de sens, souvent rimées, possèdent une force d'expression et une énergie explosive, qu'il est très difficile de rendre par une traduction littérale. [4]
2. Il doit être noté que le fait que le Coran contient en son sein des mots d'origine non-arabes n'entache pas la pureté de son style. Sheikh Muhammad Mohar Alî, un ancien professeur de l'histoire de l'Islam a l'université Islamique de Médine, écrit à ce propos :
Depuis le milieu du XIXe siècle, les orientalistes ont tourné leur attention sur ce qu'ils considèrent comme "les mots étrangers" dans le Coran. Ils ont en effet pris exemple sur les écrits des savants musulmans classiques et des exégètes qui eux-mêmes, dans leur enthousiasme pour les études minutieuses de tous les aspects du Coran, ont également prêté attention aux mots et expressions d'origine non-arabes y étant contenu, qui ont été adoptées et naturalisées dans la langue arabe.
... As-Suyuti et d'autres avant lui ont souligné trois faits importants à cet égard. Tout d'abord, l'arabe, l'éthiopien, le syriaque et l'araméen sont des langues apparentées et ont un bon nombre de mots en commun en raison de leurs racines communes. Deuxièmement, au cours des contacts des Arabes avec le monde extérieur, en particulier dans le cadre de leurs échanges et du commerce, un certain nombre de mots d'origines non-arabes ont été introduits dans la langue et ont été naturalisés, étant considérés comme partie intégrante de la langue arabe. Troisièmement, dans le cadre de cette adoption et de la naturalisation aussi bien les formes que les significations originales des mots ont subi quelques modifications et changements.
Ces faits sont communs à toutes les langues. (…) L'arabe, l'araméen, le syriaque et l'hébreu sont toutes des langues sémitiques et avaient tous la même origine ... La langue arabe tardive s'est développée à partir de cette langue originale arabe-araméenne. C'est en raison de ce fait que toutes les langues mentionnées ci-dessus ont un certain nombre de mots et d'expressions en commun, bien que leurs sens et les connotations ont subi des changements dus à l'influence du temps et de la localité. À l'époque où le Coran est descendu, un certain nombre de mots apparentés de ces langues ainsi que les langues des peuples voisins ont été naturalisés dans la langue arabe et étaient considérés comme partie intégrante de la norme littéraire arabe (al-'Arabiy al-mubin). La fréquence de ces mots et expressions dans le Coran est donc tout à fait naturelle, car il a été révélé dans la langue de son auditoire immédiat, les Arabes. [5]
Dans son analyse ci-dessus sur les mots étrangers du Coran, M. Alî Mohar apporte plusieurs points importants. Tout d'abord, il fait remarquer que l'emprunt large voire total de dialectes précédents ou étrangers est commun aux différentes langues, sans que cela n'enlève rien à la pureté de ces mêmes langues. Il affirme que les mots étrangers deviennent "partie intégrante" de la langue, ce qui maintient le statut de arabiyin mubîn. Il souligne également que tous ces mots étrangers avaient déjà été acceptés comme faisant partie de la langue arabe avant la révélation coranique. Plus loin, Alî Mohar poursuit en discutant de la recherche sur les mots étrangers par Arthur Jeffery:
En fait les recherches de Jeffery aspirent à montrer que les paroles qu'il a identifié comme étant d'origine étrangère ont effectivement été naturalisées et sont devenus des mots arabes ordinaires avant qu'ils ne viennent à être utilisé dans le Coran. Il énumère quelques 275 autres mots tels que les noms propres. "D'environ, les trois quarts des mots de cette liste", comme le souligne Watt, "il peut être démontré qu'ils ont été utilisés en arabe avant l'époque de Muhammad, ... Sur les 70 autres, s'il n'y a pas de preuves écrites de leur usage antérieur, il peut-être vrai qu'ils étaient déjà employés dans le discours ... " (fn. Watt, bell's Introduction etc., op. cit., p. 85).. Et compte tenu du fait que l'arabe, le syriaque, l'éthiopien, l'hébreu ou l'araméen juif sont des langues sémitiques apparentés ayant une origine commune dans l'original langue arabe-araméenne mentionné ci-dessus, ils ont beaucoup de mots en commun et aussi des formes similaires. Il est donc souvent difficile de dire lequel de ces mots apparentés est dérivé à un autre de ces langues. [6]
Ainsi, les mots arabes d'origines étrangères du Coran n'infirment pas la pureté du style coranique qui est clair, mais sont des mots incorporés au fil du temps dans cette langue tout comme ont été incorporés dans la langue de Molière, par exemple : "verdict" (d'origine anglaise), "leitmotiv" (d'origine allemande), "sacoche" (d'origine italienne), "savane" (d'origine espagnole), "abricot" ou "chiffre" (d'origines arabe).
Wallâhu Al'lam
SOURCE : http://islampaix.blog4ever.com/blog/lirarticle-145578-574663.html
________________________________________________________________________________________
Références :
[1] Guy Pagès, Ahmed Almahoud, Eléments pour le dialogue Islamo/Chrétien, F. X, De Guilbert, p.41
[2] http://www.answering-islam.org/Quran/Contra/qi011.html
[3] Tafsîr Ibn Kathîr, Darussalam, 2000, vol. 5, p. 528
[4] John Naish, M. A. (Oxon), D. D., The Wisdom of the Qur'an (Oxford, 1937), préface 8
[5] MM Ali, The Biography of the Prophet and the Orientalists, Jam'iyat 'Ihyaa' Minhaaj Al-Sunna, 2004, pp. 305-306, 308
[6] MM Ali, Ibid, p. 313
Le Coran et les mots étrangers
Par IslamPaix
Synthèse de l'objection:
Le Coran est en arabe "pur" (16 :103) pourtant, il comporte un certain nombre de mots étrangers, d'origines non-arabes ! N'est-ce pas une contradiction ? Ou la preuve de l'influence de sources étrangères sur le Coran?
Cette question rhétorique beaucoup de des critiques, essayistes et polémistes anti-islam la posent.
Par exemple, le père Guy Pages, abbé du diocèse de Paris adresse une question aux musulmans :
Si le Coran est censé être descendu du ciel en un arabe parfait (12,2 : 26 :185…) pourquoi 107 et 275 mots ne sont-il pas arabes ? [1]
Egalement Jochen Katz, missionnaire chrétien, écrit :
Troisièmement, en dépit du fait que 16:03 dit "ceci est l'arabe, pur et clair" - une déclaration qui est censée réfuter ceux qui disent que Muhammad a appris son message d'un enseignant humain qui ne parlait pas couramment l'arabe -, le Coran contient des mots et des expressions qui appartiennent à d'autres langues. Voici juste deux des nombreux exemples:
"Pharaon" provient de la langue Egyptienne et signifie roi ou potentat. Le mot pour "roi" en langue Arabe est différent.
"Injîl", qui signifie "Evangile" = Bonne nouvelle, provient de la langue Grecque. Le mot correct en Arabe est "bisharah". [2]
Des assertions similaires ont été avancées par l'universitaire Allemand, Gerd R. Puin et d'autres orientalistes. Ect… Ect… la liste est longue. Le présent et bref article a pour but de répondre à leurs préoccupations.
Notons que :
1. En fait, l'allégation provient d'une incompréhension du verset 16/103 :
Et Nous savons parfaitement qu'ils disent : "Ce n'est qu'un être humain qui lui enseigne (le Coran)". Or, la langue de celui auquel ils font allusion est étrangère [non arabe], etcelle-ci est une langue arabe bien claire. (Coran, 16 : 103)
"'Arabiyyin mubîn" ne signifie pas en "arabe pur" mais se réfère à la clarté, à l'éloquence.
Ibn Kathîr écrit dans Tafsir Al-Qur'an Al-Azim:
La langue de celui auquel ils font allusion est étrangère [non arabe], et celle-ci est une langue arabe bien claire signifie, comment se pourrait-il que ce Coran avec son style éloquent et ses sens parfait, qui est plus parfait que n'importe quel livre révélé à tout prophète envoyé précédemment, provienne d'un étranger qui parle à peine la langue ? Personne ayant une quantité moindre de bon sens ne ne dirait une telle chose. [3]
Et Allâh dit :
"Voilà la création de Dieu. Montrez-Moi donc ce qu'ont créé, ceux qui sont en dehors de Lui ?" Mais les injustes sont dans un égarement évident (dalalim mubîn).
Par conséquent, il est évident que mubîn se réfère à quelque chose de clair, évident. Il n'y a pas de doute au sujet du Coran, que ce soit au sujet de son origine, de ses implications pour l'humanité, ses lois, sa direction - tout cela est clair et simple. Muhammad Asad a écrit à cet égard :
L'adjectif participial mubin peut connoter un attribut du nom qu'il qualifie (« clair », « manifeste », « évident », ect…) aussi bien que sa fonction (« clarifiant», « manifestant », i.e, la vérité), chacune de ses significations est dictée par le contexte. Selon l'opinion consensuelle, ses deux sens sont compris dans l'exemple ci-dessus ; en conséquence, une phrase composée est nécessaire pour rendre l'expression appropriée.
Ainsi, ledit verset ne signifie pas que le Coran est en arabe pur mais en arabe clair, compréhensif. Il est évident que le Coran est linguistiquement à la fois clair et éloquent, comme l'écrivain non-musulman, John Naish en témoigne :
Le Coran dans sa parure originale arabe a une beauté et un charme qui lui sont propres. Conçu avec un style concis et exalté, ses phrases brèves, chargées de sens, souvent rimées, possèdent une force d'expression et une énergie explosive, qu'il est très difficile de rendre par une traduction littérale. [4]
2. Il doit être noté que le fait que le Coran contient en son sein des mots d'origine non-arabes n'entache pas la pureté de son style. Sheikh Muhammad Mohar Alî, un ancien professeur de l'histoire de l'Islam a l'université Islamique de Médine, écrit à ce propos :
Depuis le milieu du XIXe siècle, les orientalistes ont tourné leur attention sur ce qu'ils considèrent comme "les mots étrangers" dans le Coran. Ils ont en effet pris exemple sur les écrits des savants musulmans classiques et des exégètes qui eux-mêmes, dans leur enthousiasme pour les études minutieuses de tous les aspects du Coran, ont également prêté attention aux mots et expressions d'origine non-arabes y étant contenu, qui ont été adoptées et naturalisées dans la langue arabe.
... As-Suyuti et d'autres avant lui ont souligné trois faits importants à cet égard. Tout d'abord, l'arabe, l'éthiopien, le syriaque et l'araméen sont des langues apparentées et ont un bon nombre de mots en commun en raison de leurs racines communes. Deuxièmement, au cours des contacts des Arabes avec le monde extérieur, en particulier dans le cadre de leurs échanges et du commerce, un certain nombre de mots d'origines non-arabes ont été introduits dans la langue et ont été naturalisés, étant considérés comme partie intégrante de la langue arabe. Troisièmement, dans le cadre de cette adoption et de la naturalisation aussi bien les formes que les significations originales des mots ont subi quelques modifications et changements.
Ces faits sont communs à toutes les langues. (…) L'arabe, l'araméen, le syriaque et l'hébreu sont toutes des langues sémitiques et avaient tous la même origine ... La langue arabe tardive s'est développée à partir de cette langue originale arabe-araméenne. C'est en raison de ce fait que toutes les langues mentionnées ci-dessus ont un certain nombre de mots et d'expressions en commun, bien que leurs sens et les connotations ont subi des changements dus à l'influence du temps et de la localité. À l'époque où le Coran est descendu, un certain nombre de mots apparentés de ces langues ainsi que les langues des peuples voisins ont été naturalisés dans la langue arabe et étaient considérés comme partie intégrante de la norme littéraire arabe (al-'Arabiy al-mubin). La fréquence de ces mots et expressions dans le Coran est donc tout à fait naturelle, car il a été révélé dans la langue de son auditoire immédiat, les Arabes. [5]
Dans son analyse ci-dessus sur les mots étrangers du Coran, M. Alî Mohar apporte plusieurs points importants. Tout d'abord, il fait remarquer que l'emprunt large voire total de dialectes précédents ou étrangers est commun aux différentes langues, sans que cela n'enlève rien à la pureté de ces mêmes langues. Il affirme que les mots étrangers deviennent "partie intégrante" de la langue, ce qui maintient le statut de arabiyin mubîn. Il souligne également que tous ces mots étrangers avaient déjà été acceptés comme faisant partie de la langue arabe avant la révélation coranique. Plus loin, Alî Mohar poursuit en discutant de la recherche sur les mots étrangers par Arthur Jeffery:
En fait les recherches de Jeffery aspirent à montrer que les paroles qu'il a identifié comme étant d'origine étrangère ont effectivement été naturalisées et sont devenus des mots arabes ordinaires avant qu'ils ne viennent à être utilisé dans le Coran. Il énumère quelques 275 autres mots tels que les noms propres. "D'environ, les trois quarts des mots de cette liste", comme le souligne Watt, "il peut être démontré qu'ils ont été utilisés en arabe avant l'époque de Muhammad, ... Sur les 70 autres, s'il n'y a pas de preuves écrites de leur usage antérieur, il peut-être vrai qu'ils étaient déjà employés dans le discours ... " (fn. Watt, bell's Introduction etc., op. cit., p. 85).. Et compte tenu du fait que l'arabe, le syriaque, l'éthiopien, l'hébreu ou l'araméen juif sont des langues sémitiques apparentés ayant une origine commune dans l'original langue arabe-araméenne mentionné ci-dessus, ils ont beaucoup de mots en commun et aussi des formes similaires. Il est donc souvent difficile de dire lequel de ces mots apparentés est dérivé à un autre de ces langues. [6]
Ainsi, les mots arabes d'origines étrangères du Coran n'infirment pas la pureté du style coranique qui est clair, mais sont des mots incorporés au fil du temps dans cette langue tout comme ont été incorporés dans la langue de Molière, par exemple : "verdict" (d'origine anglaise), "leitmotiv" (d'origine allemande), "sacoche" (d'origine italienne), "savane" (d'origine espagnole), "abricot" ou "chiffre" (d'origines arabe).
Wallâhu Al'lam
SOURCE : http://islampaix.blog4ever.com/blog/lirarticle-145578-574663.html
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Références :
[1] Guy Pagès, Ahmed Almahoud, Eléments pour le dialogue Islamo/Chrétien, F. X, De Guilbert, p.41
[2] http://www.answering-islam.org/Quran/Contra/qi011.html
[3] Tafsîr Ibn Kathîr, Darussalam, 2000, vol. 5, p. 528
[4] John Naish, M. A. (Oxon), D. D., The Wisdom of the Qur'an (Oxford, 1937), préface 8
[5] MM Ali, The Biography of the Prophet and the Orientalists, Jam'iyat 'Ihyaa' Minhaaj Al-Sunna, 2004, pp. 305-306, 308
[6] MM Ali, Ibid, p. 313
Esculape- Panacée
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Re: A méditer!!!!!!!!!!!!!
Versets abrogés et verset abrogeants
Les contradictions qui ont pu être relevées au sein du Coran sont expliquées par la science islamique par le principe des verset abrogés (mansukh) et des versets abrogeants (nasikh) : les versets les plus récents relatifs à un sujet donnés abrogent les versets les plus anciens sur le même sujet. Il y a plusieurs niveaux d'abrogations selon que l'abrogation porte sur la lecture du texte ou seulement sur sa prescription tandis que le texte reste inscrit dans le Coran. Le principe de l'abrogation repose sur deux versets du Coran (sourate 2, verset 116 et sourate 16, verset 101). Pour faire comprendre le principe de l'abrogation par Dieu de ses propres versets, les savants de l'islam utilisent souvent l'analogie avec le médecin qui fait évoluer son traitement à mesure de l'état du malade, la Révélation ne pouvant être donnée d'un coup tout entière aux Hommes.
La difficulté est de connaître, pour chaque sujet étudié, le verset révélé en dernier alors que les versets du Coran ne sont pas classés par ordre chronologique. La connaissance des mansukh et des nasikh constitue donc une science du Coran qui donne lieu à des longs débats entre savants sur l'abrogation ou non de tel ou tel verset. Selon l'islamologue français Jacques Berque sur les 114 sourates du Coran, 71 sont peu ou prou concernées par l'abrogation (25 contiennent à la fois des versets abrogeants et des versets abrogés, 6 seulement des versets abrogeants et 40 seulement des versets abrogés)28. Pour faciliter la lecture dans la perspective de l'abrogation, Sami Awad Aldeeb Abu-Sahlieh a publié le Coran "par ordre chronologique selon l'Azhar, avec renvois aux abrogations".
Globalement, concernant les prescriptions de vie, les premiers versets dictés à La Mecque ont souvent été abrogés par des versets dictés plus tard à Médine, jugés plus "durs". L'exemple le plus souvent cité de l'évolution des prescriptions du Coran en fonction de la règle de l'abrogation est celui de l'interdiction de l'alcool [6]. Un autre exemple souvent cité, notamment par les adversaires de l'islam, est le verset du sabre (sourate 9, verset 5) qui abolit, selon les exégètes, jusqu'à 114 versets antérieurs prônant la tolérance religieuse29.
Emprunts coraniques à des langues non-arabes[modifier]
Une lecture anthropologique est nécessaire pour une meilleure compréhension du Coran, qui contient beaucoup d'emprunts de termes non arabes, en particulier de la langue syro-araméenne. Al-Zarkashî citant Ibn ‘Abbâs :
« L’opinion d’Ibn ‘Abbâs, de ‘Ikrima et d’autres encore est que l’on trouve dans le Coran du non-arabe. Entrent dans cette catégorie : al-tûr, “la montagne” en syriaque ; tafaqâ, “se diriger vers” en romain ; qist et qistâs, “la justice” en romain ; innâ hudnâ ilayka (Coran, VII : 156), “nous nous repentons” en hébreu ; sijill, “livre” en persan ; raqîm, “planche” en romain ; muhl, “résidu de l’huile” dans la langue du Maghreb ; sundus, “rideau transparent” en hindou ; istabraq, “gros” en persan, sans le q ; sarî, “petite rivière” en grec, etc. »
Le dinar et le dirham, deux mots de racine grecque se trouvent aussi dans le Coran. Sont aussi empruntés au lexique grec, la « sema » (signe ou marque d’où « sémantique »), ou « zukhruf, » le titre d’une sourate (de « zooghraphô », « je peins », littéralement « j'écris le vivant », sens dérivé « je décore », « j’enjolive »)32.
Cette lecture de déconstruction qui substitue une lecture anthropologique a tendance à être de plus en plus oubliée.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Coran
Les contradictions qui ont pu être relevées au sein du Coran sont expliquées par la science islamique par le principe des verset abrogés (mansukh) et des versets abrogeants (nasikh) : les versets les plus récents relatifs à un sujet donnés abrogent les versets les plus anciens sur le même sujet. Il y a plusieurs niveaux d'abrogations selon que l'abrogation porte sur la lecture du texte ou seulement sur sa prescription tandis que le texte reste inscrit dans le Coran. Le principe de l'abrogation repose sur deux versets du Coran (sourate 2, verset 116 et sourate 16, verset 101). Pour faire comprendre le principe de l'abrogation par Dieu de ses propres versets, les savants de l'islam utilisent souvent l'analogie avec le médecin qui fait évoluer son traitement à mesure de l'état du malade, la Révélation ne pouvant être donnée d'un coup tout entière aux Hommes.
La difficulté est de connaître, pour chaque sujet étudié, le verset révélé en dernier alors que les versets du Coran ne sont pas classés par ordre chronologique. La connaissance des mansukh et des nasikh constitue donc une science du Coran qui donne lieu à des longs débats entre savants sur l'abrogation ou non de tel ou tel verset. Selon l'islamologue français Jacques Berque sur les 114 sourates du Coran, 71 sont peu ou prou concernées par l'abrogation (25 contiennent à la fois des versets abrogeants et des versets abrogés, 6 seulement des versets abrogeants et 40 seulement des versets abrogés)28. Pour faciliter la lecture dans la perspective de l'abrogation, Sami Awad Aldeeb Abu-Sahlieh a publié le Coran "par ordre chronologique selon l'Azhar, avec renvois aux abrogations".
Globalement, concernant les prescriptions de vie, les premiers versets dictés à La Mecque ont souvent été abrogés par des versets dictés plus tard à Médine, jugés plus "durs". L'exemple le plus souvent cité de l'évolution des prescriptions du Coran en fonction de la règle de l'abrogation est celui de l'interdiction de l'alcool [6]. Un autre exemple souvent cité, notamment par les adversaires de l'islam, est le verset du sabre (sourate 9, verset 5) qui abolit, selon les exégètes, jusqu'à 114 versets antérieurs prônant la tolérance religieuse29.
Emprunts coraniques à des langues non-arabes[modifier]
Une lecture anthropologique est nécessaire pour une meilleure compréhension du Coran, qui contient beaucoup d'emprunts de termes non arabes, en particulier de la langue syro-araméenne. Al-Zarkashî citant Ibn ‘Abbâs :
« L’opinion d’Ibn ‘Abbâs, de ‘Ikrima et d’autres encore est que l’on trouve dans le Coran du non-arabe. Entrent dans cette catégorie : al-tûr, “la montagne” en syriaque ; tafaqâ, “se diriger vers” en romain ; qist et qistâs, “la justice” en romain ; innâ hudnâ ilayka (Coran, VII : 156), “nous nous repentons” en hébreu ; sijill, “livre” en persan ; raqîm, “planche” en romain ; muhl, “résidu de l’huile” dans la langue du Maghreb ; sundus, “rideau transparent” en hindou ; istabraq, “gros” en persan, sans le q ; sarî, “petite rivière” en grec, etc. »
Le dinar et le dirham, deux mots de racine grecque se trouvent aussi dans le Coran. Sont aussi empruntés au lexique grec, la « sema » (signe ou marque d’où « sémantique »), ou « zukhruf, » le titre d’une sourate (de « zooghraphô », « je peins », littéralement « j'écris le vivant », sens dérivé « je décore », « j’enjolive »)32.
Cette lecture de déconstruction qui substitue une lecture anthropologique a tendance à être de plus en plus oubliée.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Coran
Esculape- Panacée
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