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Interactions médicamenteuses
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:: koi 2 9 docteur??? :: Cours & Sujets :: 3eme année :: pharmacologie
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Interactions médicamenteuses
Interaction survenant in vitro :
La synergie :
Soit deux médicaments A et B, en synergie, le cas thérapeutique observé est celui de A et celui de B, sauf les effets communs sont additionnés.
Exemples :
- Interaction antivitamine K / Aspirine
L’Aspirine à 3 propriétés ; à faible dose, elle a un effet antiagrégant plaquettaire, elle a aussi un effet antalgique, à forte dose elle a un effet antinflammatoire.
L’on sait qu’avant une coagulation on a une agrégation plaquettaire, donc l’aspirine a un effet anti coagulant, le même que celui de l’antivitamine K, s’il y’a interaction entre ces deux médicaments on aura sûrement une hémorragie.
- Interaction Gentamicine / Ampicilline
Quand on a une infection par un streptocoque qui est résistant aux aminosides (Gentamicine), et ce par sa paroi qui empêche la pénétration de l’antibiotique, on lui associe la pénicilline (ampicilline) qui détruit la paroi bactérienne, et donc facilite l’action de la gentamicine.
La potentialisation :
Soit deux médicaments A et B, en cas de potentialisation, l’effet de A et différent de celui de B ; soit A augmente l’effet de B, ou le contraire.
Exemple :
Interaction antivitamine K / clofibrate
Le clofibrate est un hypolipémiant diminue le taux de cholestérol et de triglycérides dans le sang.
Le clofibrate et l’anticoagulant se fixent sur les même protéines, sauf que le clofibrate a une affinité plus grande que celle de l’anticoagulant, donc chasse ce dernier, et on aura une hémorragie (par non fixation de l’antivitamine K).
- si on est obligés de les administrer ensemble, on doit contrôler le taux de prothrombine, si ce dernier diminue, on fait diminuer la dose de l’anticoagulant.
- Si on doit arréter le clofibrate, on contrôle le taux de prothrombine, on pourrait alors retourner à la dose initiale.
Remarque : il faut bien connaître la ½ vie d’un médicament avant d’arrêter ou de diminuer la dose.
L’antagonisme :
On associe A et B qui ont des effets complètement opposés, donc A peu annuler (antagonisme total), ou diminuer (antagonisme partiel) l’effet de B, et le contraire.
Exemple :
- Interaction morphine / nalorphine & morphine / naloxone
En terme d’efficacité ; la morphine est la plus stimulatrice, suivie par la nalorphine, et en dernier vient la naloxone. En terme d’affinité ; on aura la naloxone, suivie de la nalorphine, et en dernier la morphine.
Donc, si on administre la morphine avec la nalorphine, cette dernière va chasser la morphine (plus grande affinité), et diminue l’effet thérapeutique (moins efficace), ceci est un exemple d’antagonisme partiel, car on a effet, même s’il est petit.
Si l’interaction se fait avec la naloxone, on aura aucun effet thérapeutique, car la morphione est chassée, et la naloxone ne fait rien, ceci est un exemple d’antagoniste total.
- Interaction pénicilline / tétracycline
La pénicilline agit en détruisant la paroi bactérienne, et ce au moment de la division cellulaire. Les tétracycline, sont des antibiotiques qui empêchent la multiplication bactérienne.
Don, l’association pénicilline / tétracycline n’a aucun avantage, puisqu’elle ne laisse pas la pénicilline travailler.
Remarque : si on mélange les antibiotiques, on doit s’assurer que l’interaction soit synergique.
L’interaction peut toucher les effets thérapeutiques, comme elle peut toucher les effets secondaires.
Mécanisme d’interaction survenant dans la phase pharmacocinétique :
Le résorption : avec
Prise d’antiacide :
L’antiacide peut retardé ou diminué le taux du médicament absorbé, donc diminue l’absorption. Il faut toujours séparer le médicament et l’antiacide, si le malade prend l’antiacide, il doit prendre l’autre médicament au moins 2h après.
Présence d’un produit adsorbant :
Qui va adsorbé soit une substance gazeuse ou liquide, cette dernière sera liée à lui et ne sera pas absorbée.
Exemples d’adsorbants : le charbon adsorbe le gaz chez les atteints de ballonnements, donc adsorbe aussi les médicaments pris.
Le silicate d’alcool est capable de fixer certains médicaments comme la lincomycine, l’aspirine, l’anticoagulant.
Présence de produit pouvant former un complexe avec le médicament.
Produit diminuant la dissolution :
Se sont tout les médicaments qui ont une propriété anticholinergique, car au niveau du tube digestif se trouve des récepteur d’acétyle choline, la stimulation de ces dernier augmente les sécrétions digestives.
Présence d’un laxatif :
Les laxatifs diminue le temps de contacte du médicament avec la muqueuse intestinale.
Remarques :
- ne jamais administrer des laxatifs (lensoides) avec les vitamine, car ces dernières se fixent sur le laxatif et on aura aucun effet thérapeutique.
- Ne jamais administrer des antibiotiques à long terme par voie orale, surtout l’anti vitamine K, on aura une mort de la flore intestinale, et donc pas d’effet de l’anticoagulant, ce qui entraînera une hémorragie.
- L’absorption des pilules contraceptives donne sur le foie, elle sera excrétée avec la bile à l’état « conjugué » donc hydrosoluble, or pour être réabsorbé au niveau de l’intestin, elle doit être liposoluble « non conjuguée », on doit la d conjuguée grâce aux enzymes des bactéries intestinal, et à la prise d’antibiotiques à long terme, cela reste impossibles par mort de la flore.
La distribution :
On prendra un exemple sur l’interaction anti K / aspirine.
Une grande dose d’aspirine joue le rôle d’un anti-inflammatoire non stéroïdien, qui se fixent sur les récepteurs membranaire sans être actifs.
Si on associe un anticoagulant à l’aspirine, on a cette dernière qui a plus d’affinité, qui chasse l’anticoagulant qui entraînera une hémorragie.
Pour ne pas avoir d’hémorragie suite à l’arrêt de l’aspirine, on doit diminuer la dose de l’anticoagulant, avec contrôle constant eu taux de prothrombine. Si l’aspirine était à visée antalgique, on aurais pu l’échanger, car pas d’affinité en jeu, mais comme c à visée anti-inflammatoire, tout les anti-inflammatoires non stéroïdien ont une affinité pour les récepteurs.
Le métabolisme :
Le foie peut transformer le médicament en métabolites qui peuvent être inactifs, ou rarement réactifs.
Cas d’inducteurs enzymatiques :
si on ajoute à un médicament un inducteur enzymatique, on aura plus de fraction métabolisées, cet effet est lont à s’installer, et lent à disparaître.
Exemple : interaction pilule oeustroprogéstéroceptive / rifampérine (inducteur)
L’association donne une diminution de l’effet de la pilule, car l’inducteur augmente le métabolisme hépatique et donc dégradations rapide
Cas d’inhibiteurs enzymatiques :
Exemple : interaction cimétidine « antihistaminique H2 » (inhibiteur) / antivitamine K
La cimétidine inhibe le métabolisme de l’anticoagulant, donc pas de dégradation, ce qui entraîne une accumulation de ce dernier dans le sang, et on aura une hémorragie.
Pour éviter l’hémorragie, on change la cimétidine par un autre antihistaminique H2 « la ramitidine » par exemple, sinon on diminue la posologie de l’anticoagulant, avec contrôle du taux de prothrombine.
Cas de compétition enzymatique :
Soit deux médicaments A et B, si B a plus d’affinité que A alors il va se fixer sur le site enzymatique et va être métabolisé, A ne va pas trouver de place, et donc il va s’accumulé dans le sang.
Exemple : interaction théophylline / macrolite
Les deux médicaments sont métabolisés par le même enzymes, les macrolites ont plus d’affinité, donc chassent la théophylline qui s’accumule dans le sang, il y’aura donc un retard dans le métabolisme de la théophylline, et comme cette dernière a un index thérapeutique étroit, on aura des concentrations toxiques rapidement car la fraction non métabolisé est active « bien sure ».
Si par exemple on a un patient asthmatique sous théophylline et présente une infection, on doit éviter de lui prescrire des macrolites.
L’élimination :
Ça concerne les médicaments qui s’éliminent d’une façon active.
Si on administre 2 médicaments A et B, et que les deux se fixent sur les mêmes récepteurs, si B a plus d’affinité que A, ce dernier s’accumule , et on aura un risque de toxicité.
Exemple : interaction ampicilline / propénécide « augmente l’élimination d’acide urique »
Au niveau rénal, l’acide urique à plus d’affinité ce qui fait que ce dernier sera éliminer et l’ampicilline va s’accumuler, elle va avoir donc un retard à être éliminée.
Sur le plan pratique, on a inventé le « prototapen » qu’est une association d’ampicilline et d’acide urique, comme ça il y’aura retard d’élimination d’ampicilline, ça nous permettra d’espacer les horaires d’administration, de diminuer la dose, on peut même changer la voie d’administration de l’un des produits.
Remarques : toute interaction à risque doit être régulièrement surveillée, la connaissance des ùmécanismes d’interaction est parfois indispensable.
Exemple : cimétédine diazépam (valéum) = inhibition
cimétédine ionazépam (témesta) = pas d’inhibition
Le diazépam et l’ionazépam sont issus de la même famille, or si on associe la cimétédine avec le premier on aura inhibition, mais pas avec le deuxième.
Quand un médicament est inducteur ou inhibiteur enzymatique, ça ne veut pas dire qu’il est inducteur ou inhibiteur pour toutes les réactions.
Dans cet exemple, le diazépam subit une réaction d’hydroxydation, qui est toucher par la cimétédine, l’ionazépam subit une autre réaction qui n’est pas toucher.
Interaction survenant dans la phase pharmacodynamique :
C’est des interaction qui surviennent sur les récepteurs qui fixent les médicaments.
Si deux médicaments qui stimulent le même récepteur, on aura synergie d’action, avec biensur augmentation d’effets thérapeutiques, et diminution d’effets indésirables. Si l’un stimule et l’autre bloque, on aura un antagonisme, cela dépend de l’affinité et de la posologie, car supposons que A a plus d’affinité que B, on peut chasser A en administrant une grande dose de B.
Gestion des interaction médicamenteuse :
- remplacer un des produits par un autre interagissant
- surveiller l’interaction par dosage du médicament dans le sang, ou en évaluant de son effet par un test biologique ou clinique
- ajuster les posologie quand il y’a aug ou dim de l’effet de l’un des médicaments.
La synergie :
Soit deux médicaments A et B, en synergie, le cas thérapeutique observé est celui de A et celui de B, sauf les effets communs sont additionnés.
Exemples :
- Interaction antivitamine K / Aspirine
L’Aspirine à 3 propriétés ; à faible dose, elle a un effet antiagrégant plaquettaire, elle a aussi un effet antalgique, à forte dose elle a un effet antinflammatoire.
L’on sait qu’avant une coagulation on a une agrégation plaquettaire, donc l’aspirine a un effet anti coagulant, le même que celui de l’antivitamine K, s’il y’a interaction entre ces deux médicaments on aura sûrement une hémorragie.
- Interaction Gentamicine / Ampicilline
Quand on a une infection par un streptocoque qui est résistant aux aminosides (Gentamicine), et ce par sa paroi qui empêche la pénétration de l’antibiotique, on lui associe la pénicilline (ampicilline) qui détruit la paroi bactérienne, et donc facilite l’action de la gentamicine.
La potentialisation :
Soit deux médicaments A et B, en cas de potentialisation, l’effet de A et différent de celui de B ; soit A augmente l’effet de B, ou le contraire.
Exemple :
Interaction antivitamine K / clofibrate
Le clofibrate est un hypolipémiant diminue le taux de cholestérol et de triglycérides dans le sang.
Le clofibrate et l’anticoagulant se fixent sur les même protéines, sauf que le clofibrate a une affinité plus grande que celle de l’anticoagulant, donc chasse ce dernier, et on aura une hémorragie (par non fixation de l’antivitamine K).
- si on est obligés de les administrer ensemble, on doit contrôler le taux de prothrombine, si ce dernier diminue, on fait diminuer la dose de l’anticoagulant.
- Si on doit arréter le clofibrate, on contrôle le taux de prothrombine, on pourrait alors retourner à la dose initiale.
Remarque : il faut bien connaître la ½ vie d’un médicament avant d’arrêter ou de diminuer la dose.
L’antagonisme :
On associe A et B qui ont des effets complètement opposés, donc A peu annuler (antagonisme total), ou diminuer (antagonisme partiel) l’effet de B, et le contraire.
Exemple :
- Interaction morphine / nalorphine & morphine / naloxone
En terme d’efficacité ; la morphine est la plus stimulatrice, suivie par la nalorphine, et en dernier vient la naloxone. En terme d’affinité ; on aura la naloxone, suivie de la nalorphine, et en dernier la morphine.
Donc, si on administre la morphine avec la nalorphine, cette dernière va chasser la morphine (plus grande affinité), et diminue l’effet thérapeutique (moins efficace), ceci est un exemple d’antagonisme partiel, car on a effet, même s’il est petit.
Si l’interaction se fait avec la naloxone, on aura aucun effet thérapeutique, car la morphione est chassée, et la naloxone ne fait rien, ceci est un exemple d’antagoniste total.
- Interaction pénicilline / tétracycline
La pénicilline agit en détruisant la paroi bactérienne, et ce au moment de la division cellulaire. Les tétracycline, sont des antibiotiques qui empêchent la multiplication bactérienne.
Don, l’association pénicilline / tétracycline n’a aucun avantage, puisqu’elle ne laisse pas la pénicilline travailler.
Remarque : si on mélange les antibiotiques, on doit s’assurer que l’interaction soit synergique.
L’interaction peut toucher les effets thérapeutiques, comme elle peut toucher les effets secondaires.
Mécanisme d’interaction survenant dans la phase pharmacocinétique :
Le résorption : avec
Prise d’antiacide :
L’antiacide peut retardé ou diminué le taux du médicament absorbé, donc diminue l’absorption. Il faut toujours séparer le médicament et l’antiacide, si le malade prend l’antiacide, il doit prendre l’autre médicament au moins 2h après.
Présence d’un produit adsorbant :
Qui va adsorbé soit une substance gazeuse ou liquide, cette dernière sera liée à lui et ne sera pas absorbée.
Exemples d’adsorbants : le charbon adsorbe le gaz chez les atteints de ballonnements, donc adsorbe aussi les médicaments pris.
Le silicate d’alcool est capable de fixer certains médicaments comme la lincomycine, l’aspirine, l’anticoagulant.
Présence de produit pouvant former un complexe avec le médicament.
Produit diminuant la dissolution :
Se sont tout les médicaments qui ont une propriété anticholinergique, car au niveau du tube digestif se trouve des récepteur d’acétyle choline, la stimulation de ces dernier augmente les sécrétions digestives.
Présence d’un laxatif :
Les laxatifs diminue le temps de contacte du médicament avec la muqueuse intestinale.
Remarques :
- ne jamais administrer des laxatifs (lensoides) avec les vitamine, car ces dernières se fixent sur le laxatif et on aura aucun effet thérapeutique.
- Ne jamais administrer des antibiotiques à long terme par voie orale, surtout l’anti vitamine K, on aura une mort de la flore intestinale, et donc pas d’effet de l’anticoagulant, ce qui entraînera une hémorragie.
- L’absorption des pilules contraceptives donne sur le foie, elle sera excrétée avec la bile à l’état « conjugué » donc hydrosoluble, or pour être réabsorbé au niveau de l’intestin, elle doit être liposoluble « non conjuguée », on doit la d conjuguée grâce aux enzymes des bactéries intestinal, et à la prise d’antibiotiques à long terme, cela reste impossibles par mort de la flore.
La distribution :
On prendra un exemple sur l’interaction anti K / aspirine.
Une grande dose d’aspirine joue le rôle d’un anti-inflammatoire non stéroïdien, qui se fixent sur les récepteurs membranaire sans être actifs.
Si on associe un anticoagulant à l’aspirine, on a cette dernière qui a plus d’affinité, qui chasse l’anticoagulant qui entraînera une hémorragie.
Pour ne pas avoir d’hémorragie suite à l’arrêt de l’aspirine, on doit diminuer la dose de l’anticoagulant, avec contrôle constant eu taux de prothrombine. Si l’aspirine était à visée antalgique, on aurais pu l’échanger, car pas d’affinité en jeu, mais comme c à visée anti-inflammatoire, tout les anti-inflammatoires non stéroïdien ont une affinité pour les récepteurs.
Le métabolisme :
Le foie peut transformer le médicament en métabolites qui peuvent être inactifs, ou rarement réactifs.
Cas d’inducteurs enzymatiques :
si on ajoute à un médicament un inducteur enzymatique, on aura plus de fraction métabolisées, cet effet est lont à s’installer, et lent à disparaître.
Exemple : interaction pilule oeustroprogéstéroceptive / rifampérine (inducteur)
L’association donne une diminution de l’effet de la pilule, car l’inducteur augmente le métabolisme hépatique et donc dégradations rapide
Cas d’inhibiteurs enzymatiques :
Exemple : interaction cimétidine « antihistaminique H2 » (inhibiteur) / antivitamine K
La cimétidine inhibe le métabolisme de l’anticoagulant, donc pas de dégradation, ce qui entraîne une accumulation de ce dernier dans le sang, et on aura une hémorragie.
Pour éviter l’hémorragie, on change la cimétidine par un autre antihistaminique H2 « la ramitidine » par exemple, sinon on diminue la posologie de l’anticoagulant, avec contrôle du taux de prothrombine.
Cas de compétition enzymatique :
Soit deux médicaments A et B, si B a plus d’affinité que A alors il va se fixer sur le site enzymatique et va être métabolisé, A ne va pas trouver de place, et donc il va s’accumulé dans le sang.
Exemple : interaction théophylline / macrolite
Les deux médicaments sont métabolisés par le même enzymes, les macrolites ont plus d’affinité, donc chassent la théophylline qui s’accumule dans le sang, il y’aura donc un retard dans le métabolisme de la théophylline, et comme cette dernière a un index thérapeutique étroit, on aura des concentrations toxiques rapidement car la fraction non métabolisé est active « bien sure ».
Si par exemple on a un patient asthmatique sous théophylline et présente une infection, on doit éviter de lui prescrire des macrolites.
L’élimination :
Ça concerne les médicaments qui s’éliminent d’une façon active.
Si on administre 2 médicaments A et B, et que les deux se fixent sur les mêmes récepteurs, si B a plus d’affinité que A, ce dernier s’accumule , et on aura un risque de toxicité.
Exemple : interaction ampicilline / propénécide « augmente l’élimination d’acide urique »
Au niveau rénal, l’acide urique à plus d’affinité ce qui fait que ce dernier sera éliminer et l’ampicilline va s’accumuler, elle va avoir donc un retard à être éliminée.
Sur le plan pratique, on a inventé le « prototapen » qu’est une association d’ampicilline et d’acide urique, comme ça il y’aura retard d’élimination d’ampicilline, ça nous permettra d’espacer les horaires d’administration, de diminuer la dose, on peut même changer la voie d’administration de l’un des produits.
Remarques : toute interaction à risque doit être régulièrement surveillée, la connaissance des ùmécanismes d’interaction est parfois indispensable.
Exemple : cimétédine diazépam (valéum) = inhibition
cimétédine ionazépam (témesta) = pas d’inhibition
Le diazépam et l’ionazépam sont issus de la même famille, or si on associe la cimétédine avec le premier on aura inhibition, mais pas avec le deuxième.
Quand un médicament est inducteur ou inhibiteur enzymatique, ça ne veut pas dire qu’il est inducteur ou inhibiteur pour toutes les réactions.
Dans cet exemple, le diazépam subit une réaction d’hydroxydation, qui est toucher par la cimétédine, l’ionazépam subit une autre réaction qui n’est pas toucher.
Interaction survenant dans la phase pharmacodynamique :
C’est des interaction qui surviennent sur les récepteurs qui fixent les médicaments.
Si deux médicaments qui stimulent le même récepteur, on aura synergie d’action, avec biensur augmentation d’effets thérapeutiques, et diminution d’effets indésirables. Si l’un stimule et l’autre bloque, on aura un antagonisme, cela dépend de l’affinité et de la posologie, car supposons que A a plus d’affinité que B, on peut chasser A en administrant une grande dose de B.
Gestion des interaction médicamenteuse :
- remplacer un des produits par un autre interagissant
- surveiller l’interaction par dosage du médicament dans le sang, ou en évaluant de son effet par un test biologique ou clinique
- ajuster les posologie quand il y’a aug ou dim de l’effet de l’un des médicaments.
trakos- Tonique
- Nombre de messages : 737
Age : 37
Localisation : oran
Date d'inscription : 22/07/2008
Re: Interactions médicamenteuses
merci trakos
esque vous pouvez donnez la source
esque vous pouvez donnez la source
rozaline- Stimulant
- Nombre de messages : 87
Localisation : oran
Date d'inscription : 04/09/2008
Re: Interactions médicamenteuses
je pense que c'est les cours de Dr Boudia!!!!
aime chat- Panacée
- Nombre de messages : 2615
Age : 37
Localisation : Là
Date d'inscription : 29/01/2008
Re: Interactions médicamenteuses
il y a pa de koi ramipharm
pr les cours je les est sur mon micro si t intéréssé j v ésséyé de les posté tous wella lé uploader kom sa structur du cour reste intacte
pr les cours je les est sur mon micro si t intéréssé j v ésséyé de les posté tous wella lé uploader kom sa structur du cour reste intacte
trakos- Tonique
- Nombre de messages : 737
Age : 37
Localisation : oran
Date d'inscription : 22/07/2008
salut
trakos a écrit:il y a pa de koi ramipharm
pr les cours je les est sur mon micro si t intéréssé j v ésséyé de les posté tous wella lé uploader kom sa structur du cour reste intacte
please est ce que tu peux m'envoyer les cours sur: hayet _pharma@hotmail.com
merci d'avance et bon courage
Hayet- Analeptique
- Nombre de messages : 143
Age : 36
Localisation : ORAN
Date d'inscription : 03/04/2009
Re: Interactions médicamenteuses
j v voir ske j peu fair
pck entre le 20sep é le 4 juin c tte une année mon micro été formaté pa mal de foi
vs n'ete pa besoin de cour de cardio a la place de pharmaco par hazzard?
pck entre le 20sep é le 4 juin c tte une année mon micro été formaté pa mal de foi
vs n'ete pa besoin de cour de cardio a la place de pharmaco par hazzard?
trakos- Tonique
- Nombre de messages : 737
Age : 37
Localisation : oran
Date d'inscription : 22/07/2008
Re: Interactions médicamenteuses
trakos a écrit:j v voir ske j peu fair
pck entre le 20sep é le 4 juin c tte une année mon micro été formaté pa mal de foi
vs n'ete pa besoin de cour de cardio a la place de pharmaco par hazzard?
Ah ok ok, c'est pas grave, je ne veux pas te déranger plus!!!! j'en ai les cours sur cahier,mais j'aimerai bien les avoir sur PC,merci beaucoup mon confrère.........
Hayet- Analeptique
- Nombre de messages : 143
Age : 36
Localisation : ORAN
Date d'inscription : 03/04/2009
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