MENSONGE

Un poeme pour une menteuse qui ma fais mal,,,et elle sera que ce poeme est pour elle

On sait pleurer, mais on ne sait pas rire,
On sait se disputer mais on ne sait pas parler
Comme des gens honnêtes,
On sait haïr, mais on ne sait pas aimer
On sait mentir, mais on ne sait pas dire la vérité
On ment, on ment, on ment
Jusqu'à ce que le mensonge devienne
Trop gros à supporter
Alors il se gonfle, il se gonfle
Et crève comme un vulgaire ballon
On sait tout faire, sauf dire la vérité...

On sait pleurer, mais on ne sait pas rire,
On sait se disputer mais on ne sait pas parler
Comme des gens honnêtes,
On sait haïr, mais on ne sait pas aimer
On sait mentir, mais on ne sait pas dire la vérité
On ment, on ment, on ment
Jusqu'à ce que le mensonge devienne
Trop gros à supporter
Alors il se gonfle, il se gonfle
Et crève comme un vulgaire ballon
On sait tout faire, sauf dire la vérité...

Ils nous mentent c'est flagrant,
Personne pour s'en rendre compte, tous des ignorants,
Mais moi je le savais déjà,
Je n'avais pas attendu après vous pour avoir un avis sur ça,
Un beau jour la vérité éclatera au grand jour,
Nous serons arrivés au point de non retour,
Vous serez tous là avec vos yeux ébahis,
Moi je serai déjà partie d'ici,
Je me réjouirai de votre désastre,
Je serai déjà partie à la conquête de nouveaux astres.

Pourquoi m'as tu mentie ?
Nous aurions pu être si bons amis
Malheureusement pour toi tu m'as trahie !
Je te faisais confiance,
Me confier à toi,
t'avouer mes sentiments...
Et toi tout ce temps tu jouais avec moi
Tu m'as fait souffrir sache-le
Je ne comprendrai jamais pourquoi,
Tu m'as fait ça !
L'ai-je mérité ? Je ne le pense pas,
Le plus insupportable est de savoir,
La vie que tu menais derrière mon dos.
Je suis loin d'être parfait,
Mais moi au moins je suis sincère.
Mes sentiments envers toi m'aveuglaient,
Quelle idiot suis-je,
D'avoir pu croire que quelqu'un comme toi,
Pourrait un seul instant s'intéresser à moi.
Comme on dit souvent, l'amour rend aveugle.
Mais maintenant grâce à toi je sais,
Tu m'as beaucoup déçue,
Mais je vis ma vie et
Ne m'arrête pas à ce qui n'en vaut plus la peine.
Je peux maintenant t'oublier le coeur léger,
D'avoir déversé tout ce que tu m'avais fait !
Tu penses pouvoir tout régler avec des excuses,
Mais ce coup-ci ça n'a pas marché.
C'est ici que se termine mon poème ainsi que notre amitié...

... La vérité et le mensonge,
Sont intimement liés,
Par la force des mes songes,
Je me dois de les séparer.

La vérité existe sous plusieurs masques,
Parfois elle attaque,
Elle peut aussi nous faire peur,
Et bloquer les portes de notre cœur...

L'âme est purement complexe,
Notre cerveau l'est tout autant,
Pour lui, raconter la vérité est un réflexe,
Or mon âme l'en empêche ; elle sait que ça peut blesser les gens !

Le mensonge, quant à lui, est la pire des infamies,
Non seulement il explose notre vie,
Mais aussi celle de nos proches,
Qui dans leurs cœurs nous décrochent.

Ils nous enlèvent quoique parfois à regret,
Cela dépend du mal que l'on a fait,
Un simple pardon n'assoit pas la souffrance,
Qui nous transperce tel un couteau que l'on nous lance...

Certes nous pouvons mentir pour préserver,
C'est aussi le cas pour la vérité,
Si notre destin dépend d'un seul mot,
Il faudrait chercher ces lettres aussi précieuses qu'un lingot...

Tant de gens penseront à fouiller toute la Terre,
Mais ils ne trouveront rien, quelle misère...
Ce qui est tout simplement logique,
Car ils auront ignoré l'endroit magique...

Ce mot si unique, se trouve au fond de nous,
Il est différent de la personne la plus proche de toi,
Encore maintenant cette parole est un mystère pour moi,
Je crois l'avoir trouvé mais je ne suis pas sûr du tout...

Il est donc inutile que je le révèle,
Du moment que je le connais,
C'est mon droit de le garder secret,
Je peux simplement dire que je voudrais qu'il bascule dans la vie réelle...

Certains penseront que je suis devenu un dément,
C'est peut-être le cas qui sait ?
Mais mon état me plait,
Car je ne vis plus dans le passé à présent...

Mensonges,
Mauvais songes,
Ils noircissent mon coeur
De ma douleur.

Vérité,
Pas si bien aimée
Qu'on le pense,
Elle peut faire ressentir la souffrance.

Mensonges !
Personne ne vous aime !
Pourtant, grâce à vous, certaines choses se prolongent,
Avec vous, les choses ne sont plus les mêmes.

Parfois, vous embellissez les choses,
D'autres fois, vous les rendez moins jolies.
Après, vous dire la vérité, personne ne l'ose,
Si vous êtes petits, vous n'êtes qu'un brin de folie...

Pourquoi dit-on des mensonges ?
Pour créer un mirage,
Qui empêche le naufrage,
Mais surtout pour casser une image.

Ils lui donnent une âme,
Auxquelles ils mettent du baume.
Ils créent un royaume.

On croit qu'ils améliorent la réalité,
Mais à quel prix ?
Ils nous enfoncent dans notre obscurité,
Où l'on confond envies et vérité.

C'est un cercle vicieux,
Où l'on croit atteindre les cieux,
Où l'on croit éteindre l'enfer,
Car on a rien trouvé de mieux
Pour refaire un monde meilleur.

Mais ce tourbillon vous emmène,
Mais ce tourbillon vous entraîne,
Dans un océan en tempête,
Où la réalité fait payer votre dette.

Quand on ne se contente plus des rêves,
A la vie on fait entrave.
Le menteur se protège,
Le menteur s'isole,
Et dans son royaume de neige,
Où les mensonges constituent le sol,
Où les mensonges constituent le ciel.
Il se fabrique
Dans ses murs basiques
De brique
Sa propre camisole.

C'est un cercle vicieux,
Où l'on croit atteindre les cieux,
Où l'on croit éteindre l'enfer,
Car on a rien trouvé de mieux
Pour refaire un monde meilleur.

Voici ce que j'endure chaque jour
Je déprime sans voir la fin
Est-ce-que le bonheur me dira soudain bonjour ?
Je ne crois pas
Car tu es toujours là !
Tu ne pars pas !
Malgré moi je pense à toi, jour et nuit
Comment te faire partir de ma tête ?
Toi qui m'as déjà oubliée
Tu prétends que non
Mais c'est la vérité
Jusqu'ici tu m'as fait souffrir
On dirait même par plaisir
Et malgré ça je t'aime
Comment faire pour changer ces sentiments ?
J'en peux plus d'essayer de survivre
J'aimerais mourir
Car c'est le seul moyen
Où je pourrai me sentir bien, je crois
Tout me paraît incertain
J'ai l'impression de ne plus servir à rien
Et que si ma vie s'éteint
Je ne manquerai à personne
Achève-moi je t'en prie !
Ne me laisse pas voir ma dernière goutte de sang tomber
Plus j'essaye de changer de livre
Plus je te trouve sur toutes ces pages
Toutes celles qui suivent sont marquées de toi
Aucune ne fait pas allusion à toi
Que m'as-tu fait ?
Je ne me reconnais plus
Pourquoi tu ne me laisses pas dormir en paix ?
Ta vie est si belle
Alors que moi c'est l'enfer
Car tu peuples tous mes rêves
Sans que je sois dans aucuns des tiens

En amie conseillère et non juge
Je t'ai écouté quand tu étais déprimé
Peine de cœur ou d'orgueil?
Au fond peut être qui sait?
Puis vint mon tour
Je t'ai ouvert mon cœur
Et t'ai tout raconté
Mes joies, mes peines
Et même mes amours
Moi, qui m'étais confié avec sincérité
Ne t'exposant que la vérité
Et toi tu t'es permis de me trahir
Sous couvert de ne pas me faire souffrir
Me comprends tu donc si peu?
Moi qui sans hésiter aurai pu tout sacrifier
Pour ceux que j'aime
Mais le mensonge et la trahison j'ai déjà donné
Et j'avoue tristement que je ne sais pas
Si je pourrai te pardonner