a c'elle que je n'aurais jamais

par rhapsodie Jeu 13 Nov 2008 - 8:27

Au seul bruit de son nom je pourrais trembler d'effrois, devenir le plus vulnérable des hommes qu'une simple brise d'été pourra loin m'emporter et m'anéantir ,et cela dur depuis mes vingt ans,elle...elle en avait seize, sortit d'un compte de fée avec ses longues robes en dentelles ,ses longues mains ,ses doigts, son sourire ,elle étais sans doute la plus vierge de toutes ,elle étais d'une taille majestueuse mais avec des traits encor enfantins ,un extérieure délicats et n'ayant d'autres forces que c'elle qui lui venait d'en haut ,elle ignoré tout de l'amour tout de la vie se laissant emporté que par le vent et le rêve ,quand l'esprit divin l'anime montrant dans son discours tantôt un génies admirable ,tantôt l'ignorance absolue de se que le ciel ne lui a pas révélé tel que la générosité de l'être qui lui rendait chaque jour hommage ;le vice et le mal lui avait épargné ses troubles ; Puis avec le temps je l'es vus grandir, elle est devenus une femme ,une parfaite ,celle que je reconnaîtrai toujours parmi toutes les autres femmes c'elle qui sais ravir la personne que je suis ,une personne a qui jamais tu appartiendra ,une femme que je n'aurais jamais ,puisqu'elle sera toujours c'elle d'un autres.

A la seule femme qui peut tutoyer les étoiles...
A celle que je n'aurais jamais.

extrait de mon receuil poétique-les bienfaits d'un malaise-