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l’obésité
3 participants
:: koi 2 9 docteur??? :: La med@ctu
Page 1 sur 1
l’obésité
Que sont l’obésité et la surcharge pondérale?
L’obésité est généralement définie comme une accumulation excessive ou anormale de graisse dans le tissu adipeux. La cause sous-jacente est liée à une balance énergétique positive conduisant au gain de poids : en somme, l’individu mange plus de calories qu’il n’en dépense.
Une simple mesure permet de définir si le poids est « idéal » : l’Indice de Masse Corporelle (IMC), qui relie le poids à la taille de l’individu. L’IMC est un outil utile, utilisé en routine par le corps médical et les autres professionnels de la santé pour estimer la prévalence de la dénutrition, de la surcharge pondérale et de l’obésité chez l’adulte. Il se calcule en divisant le poids corporel (en kg) par la taille (en mètre) au carré (kg/m2). A titre d’exemple, un homme de 70 kg mesurant 1 m 75 aura un IMC de 22,9.
La surcharge pondérale et l'obésité sont caractérisées respectivement par un IMC égal ou supérieur à 25 et à 30. Entre 18,5 et 24,9, l'IMC est considéré comme "sain", les individus avec un IMC entre 25 et 29,9 sont considérés, "à risque plus élévé" de développer des maladies associés et ceux avec un IMC de 30 ou plus, à "risque modéré ou haut risque"
INDICE DE MASSE CORPORELLE
<18,5 Malnutrition
18,5 - 24,9 Poidsidéal
25 - 29,9 Embonpoint
≥30 Obèse
Quelles sont les conséquences pour la santé de l’obésité et la surcharge pondérale?
Les conséquences sanitaires de l'obésité et de la surcharge pondérale sont multiples et variées, allant d'une augmentation de la mortalité précoce à des troubles non fatals mais débilitants, ayant des effets pervers sur la qualité de vie Les principaux problèmes de santé associés à l’obésité et la surcharge pondérale sont: Le diabète de type 2
Les maladies cardiovasculaires et l’hypertension
Les maladies respiratoires (le syndrome d’apnée du sommeil)
Certains cancers
L’ostéo-arthrite
Les problèmes psychologiques
Une diminution dans la perception de la qualité de vie
Le degré du risque est influencé, par exemple, par l'excès de graisse lui-même, sa localisation, l'étendue de l'augmentation du poids corporel à l'âge adulte et le niveau d'activité physique. La plupart de ces problèmes peuvent être améliorés avec une perte de poids modeste (de 10 à 15 %), particulièrement si l'activité physique est aussi accrue.
L’obésité est généralement définie comme une accumulation excessive ou anormale de graisse dans le tissu adipeux. La cause sous-jacente est liée à une balance énergétique positive conduisant au gain de poids : en somme, l’individu mange plus de calories qu’il n’en dépense.
Une simple mesure permet de définir si le poids est « idéal » : l’Indice de Masse Corporelle (IMC), qui relie le poids à la taille de l’individu. L’IMC est un outil utile, utilisé en routine par le corps médical et les autres professionnels de la santé pour estimer la prévalence de la dénutrition, de la surcharge pondérale et de l’obésité chez l’adulte. Il se calcule en divisant le poids corporel (en kg) par la taille (en mètre) au carré (kg/m2). A titre d’exemple, un homme de 70 kg mesurant 1 m 75 aura un IMC de 22,9.
La surcharge pondérale et l'obésité sont caractérisées respectivement par un IMC égal ou supérieur à 25 et à 30. Entre 18,5 et 24,9, l'IMC est considéré comme "sain", les individus avec un IMC entre 25 et 29,9 sont considérés, "à risque plus élévé" de développer des maladies associés et ceux avec un IMC de 30 ou plus, à "risque modéré ou haut risque"
INDICE DE MASSE CORPORELLE
<18,5 Malnutrition
18,5 - 24,9 Poidsidéal
25 - 29,9 Embonpoint
≥30 Obèse
Quelles sont les conséquences pour la santé de l’obésité et la surcharge pondérale?
Les conséquences sanitaires de l'obésité et de la surcharge pondérale sont multiples et variées, allant d'une augmentation de la mortalité précoce à des troubles non fatals mais débilitants, ayant des effets pervers sur la qualité de vie Les principaux problèmes de santé associés à l’obésité et la surcharge pondérale sont: Le diabète de type 2
Les maladies cardiovasculaires et l’hypertension
Les maladies respiratoires (le syndrome d’apnée du sommeil)
Certains cancers
L’ostéo-arthrite
Les problèmes psychologiques
Une diminution dans la perception de la qualité de vie
Le degré du risque est influencé, par exemple, par l'excès de graisse lui-même, sa localisation, l'étendue de l'augmentation du poids corporel à l'âge adulte et le niveau d'activité physique. La plupart de ces problèmes peuvent être améliorés avec une perte de poids modeste (de 10 à 15 %), particulièrement si l'activité physique est aussi accrue.
malik- Tonique
- Nombre de messages : 628
Localisation : QQE PART
Date d'inscription : 04/04/2009
l'obésité:pas la faute de l'inactivité physique
On associe généralement la perte de poids à une judicieuse association de restriction alimentaire et d’exercice physique. On pense même que notre mode vie sédentaire serait l’une des causes de l’accroissement de l’obésité dans les sociétés modernes. Or, à la surprise de chercheurs américains, l’inactivité physique ne serait pas à blâmer.
Les chercheurs ont comparé le régime de vie de 172 Afro-Américaines qui pesaient en moyenne 84 kilos à 149 Africaines du Niger ayant un poids moyen de 58 kilos. Ils voulaient montrer que la différence de poids entre ces deux groupes de femmes ayant un bagage génétique comparable (origine africaine) était attribuable à leurs niveaux différents d’activité physique. Ils présumaient que les Nigériennes se dépensaient davantage que les Américaines sur le plan physique.
Selon les résultats, la différence entre les niveaux d’activité physique des deux groupes de femmes n’a pas été significative. Les Nigériennes brûlaient en moyenne 800 calories par jour; et les Américaines, 760 calories. Le degré d’activité physique n’a pas été non plus associé à la formation de tissus adipeux (les réserves de gras). Les chercheurs concluent que la dépense physique pourrait jouer un rôle mineur dans la prévention de l’excès de poids.
Les auteurs de l’étude émettent l’hypothèse que ce serait plutôt les habitudes alimentaires qui expliqueraient la différence de poids entre les Afro-Américaines et les Africaines, bien qu’ils n’aient pas recueilli de données à ce sujet. La diète nigérienne comprend surtout des végétaux, principalement des fibres et des hydrates de carbone. Le régime alimentaire américain est plutôt riche en produits animaux, en corps gras et en aliments industriels.
Ces résultats pourraient toutefois recentrer le problème de l’obésité sur l’alimentation et relativiser le rôle de l’exercice en matière de prévention, pensent-ils.
Pour le chercheur québécois Angelo Tremblay, spécialiste de l’obésité, ces résultats ne sont pas surprenants : « Nous avons déjà démontré que seul l’exercice intense et vigoureux se traduit par un bilan calorique négatif », dit-il. L’activité physique modérée, même lorsqu’elle cause une dépense énergétique plus grande qu’un exercice très vigoureux, n’entraîne pas une perte de calories assez élevée pour maigrir. « Or, les auteurs de cette étude n’ont pas tenu compte de l’intensité de l’activité physique », souligne le chercheur qui est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en activité physique, nutrition et bilan énergétique à l’Université Laval. Il rappelle également que, quel que soit le programme d’exercice adopté, il importe d’abord de modifier son alimentation si l’on espère perdre du poids.
Les chercheurs ont comparé le régime de vie de 172 Afro-Américaines qui pesaient en moyenne 84 kilos à 149 Africaines du Niger ayant un poids moyen de 58 kilos. Ils voulaient montrer que la différence de poids entre ces deux groupes de femmes ayant un bagage génétique comparable (origine africaine) était attribuable à leurs niveaux différents d’activité physique. Ils présumaient que les Nigériennes se dépensaient davantage que les Américaines sur le plan physique.
Selon les résultats, la différence entre les niveaux d’activité physique des deux groupes de femmes n’a pas été significative. Les Nigériennes brûlaient en moyenne 800 calories par jour; et les Américaines, 760 calories. Le degré d’activité physique n’a pas été non plus associé à la formation de tissus adipeux (les réserves de gras). Les chercheurs concluent que la dépense physique pourrait jouer un rôle mineur dans la prévention de l’excès de poids.
Les auteurs de l’étude émettent l’hypothèse que ce serait plutôt les habitudes alimentaires qui expliqueraient la différence de poids entre les Afro-Américaines et les Africaines, bien qu’ils n’aient pas recueilli de données à ce sujet. La diète nigérienne comprend surtout des végétaux, principalement des fibres et des hydrates de carbone. Le régime alimentaire américain est plutôt riche en produits animaux, en corps gras et en aliments industriels.
Ces résultats pourraient toutefois recentrer le problème de l’obésité sur l’alimentation et relativiser le rôle de l’exercice en matière de prévention, pensent-ils.
Pour le chercheur québécois Angelo Tremblay, spécialiste de l’obésité, ces résultats ne sont pas surprenants : « Nous avons déjà démontré que seul l’exercice intense et vigoureux se traduit par un bilan calorique négatif », dit-il. L’activité physique modérée, même lorsqu’elle cause une dépense énergétique plus grande qu’un exercice très vigoureux, n’entraîne pas une perte de calories assez élevée pour maigrir. « Or, les auteurs de cette étude n’ont pas tenu compte de l’intensité de l’activité physique », souligne le chercheur qui est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en activité physique, nutrition et bilan énergétique à l’Université Laval. Il rappelle également que, quel que soit le programme d’exercice adopté, il importe d’abord de modifier son alimentation si l’on espère perdre du poids.
tasnim- Tonique
- Nombre de messages : 952
Age : 38
Localisation : Oran
Date d'inscription : 14/10/2008
Premier médicament anti-obésité sans ordaonance!!
La Commission Européenne vient de donner son accord au laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) pour la commercialisation d'Alli® (orlistat 60 mg), premier médicament sans ordonnance contre le surpoids et l'obésité.
Ce traitement, qui n'est pas une pilule miracle, sera vendu derrière le comptoir des pharmacies et encadré par les pharmaciens.
Alli® est indiqué pour les adultes souhaitant perdre du poids et ayant un Indice de Masse Corporelle (IMC) supérieur ou égal à 28 kg/m2.
L'IMC correspond au poids (kg) / taille² (m).
Associé à un régime hypocalorique et pauvre en graisses, Alli® permet de perdre 50 % de poids en plus qu'avec un régime seul : par exemple 6 kg au lieu de 4 kg avec un régime approprié. Ce n'est donc pas un produit miracle, il est efficace seulement en accompagnement d'un régime hypocalorique et pauvre en graisses.
Le principe actif d'Alli®, l'orlistat, agit localement au niveau du système digestif en empêchant l'absorption de 25 % des graisses alimentaires consommées qui sont alors éliminées par voies naturelles. Son profil de sécurité a été établi grâce à des données issues de plus de 100 études cliniques, réalisées sur orlistat 120 mg prescrit dans le monde depuis 10 ans. Les principaux effets indésirables, observés sur le transit intestinal, constituent un signal d'alerte indiquant que l'alimentation est trop riche en graisses, et permettent aux patients d'adapter leur régime.
Alli® propose un programme d'accompagnement, offrant de nombreux conseils nutritionnels et des propositions d'activités physiques pour encourager les patients à adopter un mode de vie plus sain.
Le pharmacien aura un rôle de conseil essentiel tant au démarrage du traitement que dans son suivi. Si vous attendez la mise sur le marché de ce médicament, n'oubliez pas que l'idéal reste d'en parler à votre médecin avant de le prendre et, ensuite, d'écouter les conseils de votre pharmacien pour le suivi.
Source : communiqué de presse, GSK, 21 janvier 2009
Ce traitement, qui n'est pas une pilule miracle, sera vendu derrière le comptoir des pharmacies et encadré par les pharmaciens.
Alli® est indiqué pour les adultes souhaitant perdre du poids et ayant un Indice de Masse Corporelle (IMC) supérieur ou égal à 28 kg/m2.
L'IMC correspond au poids (kg) / taille² (m).
Associé à un régime hypocalorique et pauvre en graisses, Alli® permet de perdre 50 % de poids en plus qu'avec un régime seul : par exemple 6 kg au lieu de 4 kg avec un régime approprié. Ce n'est donc pas un produit miracle, il est efficace seulement en accompagnement d'un régime hypocalorique et pauvre en graisses.
Le principe actif d'Alli®, l'orlistat, agit localement au niveau du système digestif en empêchant l'absorption de 25 % des graisses alimentaires consommées qui sont alors éliminées par voies naturelles. Son profil de sécurité a été établi grâce à des données issues de plus de 100 études cliniques, réalisées sur orlistat 120 mg prescrit dans le monde depuis 10 ans. Les principaux effets indésirables, observés sur le transit intestinal, constituent un signal d'alerte indiquant que l'alimentation est trop riche en graisses, et permettent aux patients d'adapter leur régime.
Alli® propose un programme d'accompagnement, offrant de nombreux conseils nutritionnels et des propositions d'activités physiques pour encourager les patients à adopter un mode de vie plus sain.
Le pharmacien aura un rôle de conseil essentiel tant au démarrage du traitement que dans son suivi. Si vous attendez la mise sur le marché de ce médicament, n'oubliez pas que l'idéal reste d'en parler à votre médecin avant de le prendre et, ensuite, d'écouter les conseils de votre pharmacien pour le suivi.
Source : communiqué de presse, GSK, 21 janvier 2009
tasnim- Tonique
- Nombre de messages : 952
Age : 38
Localisation : Oran
Date d'inscription : 14/10/2008
Re: l’obésité
savez vous son prix ? sa sera entre 50 et 60 euro!!!!!
malik- Tonique
- Nombre de messages : 628
Localisation : QQE PART
Date d'inscription : 04/04/2009
Obésité, Les bactéries sont-elles responsables?
Les personnes deviennent obèses parce qu'elles
mangent plus. Mais la raison pour laquelle elles mangent davantage
pourrait résider dans un appétit stimulé par un changement dans les
bactéries intestinales.
De précédentes études avaient déjà montré que l'intestin des personnes en
surpoids contenait des bactéries différentes de celles naturellement
présentes chez les patients affichant un poids normal.
Des chercheurs de l'université d'Emory, à Atlanta, ont découvert que ces
bactéries stimulaient l'appétit, sur base d'expériences menées sur des
souris. Les souris naissent avec un tube digestif stérile, qui
se remplit naturellement de bactéries lors des premières prises de
nourriture. Les souris les plus grosses présentaient un système
immunitaire altéré : leur tube digestif contenait des bactéries
différentes qui avaient entraîné un plus grand appétit et provoqué un syndrome métabolique (pression sanguine et taux de cholestérol élevés, et dérèglement de
l'insuline), souvent précurseur de maladies cardiaques et de problèmes
de diabète, a expliqué le pathologiste Andrew Gewirtz dans la revue Science.
L'expérience a consisté à transférer les bactéries des souris obèses dans les
intestins - sans germes - de souris normales venant de naître : ces
dernières ont commencé à manger plus et ont développé des problèmes
d'insuline.
Chafia- Tonique
- Nombre de messages : 592
Localisation : !
Date d'inscription : 23/04/2009
:: koi 2 9 docteur??? :: La med@ctu
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