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Le Botox
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Esculape
Thiziri
6 participants
:: koi 2 9 docteur??? :: La med@ctu
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Le Botox
Le Botox, qu'est-ce que c'est ?
C'est La toxine botulique, substance formée de plusieurs protéines, est sécrétée par une bactérie.
De cette substance on tire un médicament qui n'est pas du tout le poison toxine botulique responsable de la maladie, le botulisme, mais un principe actif, exactement comme on tire un vaccin d'un virus. Cette toxine bloque l'action du neuromédiateur responsable de la contraction du muscle, ce qui diminue la ride due à cette contraction .
Il permet de traiter certaines rides du visage sans chirurgie,l'utilisation du Botox (toxine botulique) pouvait avoir des effets dangereux voire mortels. Les doses, que ce soit pour des raisons esthétiques ou médicales, doivent donc être méticuleusement contrôlées.
Est-il vraiment efficace ?
Que pensez vous du Botox ?
Thiziri- Panacée
- Nombre de messages : 3354
Localisation : inconnu
Date d'inscription : 04/10/2009
Re: Le Botox
Faut demander a Angelina Jolie...
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: Le Botox
Il est plus intéressant 'peut étre'de parler du botulisme
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: Le Botox
PAS DE HORS SUJET
Thiziri- Panacée
- Nombre de messages : 3354
Localisation : inconnu
Date d'inscription : 04/10/2009
Re: Le Botox
C'est juste que nos jours le Botox est a la mode
Thiziri- Panacée
- Nombre de messages : 3354
Localisation : inconnu
Date d'inscription : 04/10/2009
Re: Le Botox
Oui tu as raison,et nombreux sont les femmes qui l'utilisent pour devenir,pensent elles,plus belles et plus jeune.
Je me demande si ce botox représente un danger à la longue.
Je me demande si ce botox représente un danger à la longue.
Louf- Panacée
- Nombre de messages : 2980
Localisation : Wahran
Date d'inscription : 14/04/2008
Thiziri- Panacée
- Nombre de messages : 3354
Localisation : inconnu
Date d'inscription : 04/10/2009
Re: Le Botox
Pour les effets secondaires CLIQUER ICI
Thiziri- Panacée
- Nombre de messages : 3354
Localisation : inconnu
Date d'inscription : 04/10/2009
Re: Le Botox
exactement comme on tire un vaccin d'un virus
Quelqu'un ma dit que c'est faut ,parce qu'on ne "tire" pas un vaccin d'un virus. On se sert de l'Ag viral plus ou moins modifié pour stimuler l'immunité naturelle de l'individu vacciné !
Thiziri- Panacée
- Nombre de messages : 3354
Localisation : inconnu
Date d'inscription : 04/10/2009
Re: Le Botox
le botulisme c'est du une toxine bactérienne et non pas virale.
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: Le Botox
le vaccin est soit le virus lui meme qui peut etre vivant mais dont l'effet est attenué par plusieurs passage en temperature elevée ou bien le virus mort soit les toxines secretées par la bacterie elle meme ayant subies klke reactions.Djoudi a écrit:exactement comme on tire un vaccin d'un virus
Quelqu'un ma dit que c'est faut ,parce qu'on ne "tire" pas un vaccin d'un virus. On se sert de l'Ag viral plus ou moins modifié pour stimuler l'immunité naturelle de l'individu vacciné !
le but du vaccin est de stimuler l'organisme a produire des anticorps contre le virus concerné hakda si on est infecté par ce virus le corps aura d anticorps et d lymphocytes memoires qui seront prets a produire une reaction immunitaire secondaire plus rapide et plus forte
fleurs- Tonique
- Nombre de messages : 332
Age : 36
Localisation : oran
Date d'inscription : 21/10/2007
Re: Le Botox
Tu nous apprends rien amie Fleurs.Cela a eté fait au c.e.m. et au lycée...
Esculape- Panacée
- Nombre de messages : 5488
Localisation : oran
Date d'inscription : 14/09/2010
Re: Le Botox
BOTOX - INDICATIONS, POSOLOGIE, CONTRE INDICATIONS, EFFETS INDÉSIRABLES
Source RESIP-BCB
BOTOX 100 Unités ALLERGAN Poudre pour solution injectable Boîte de 1 Flacon de poudre de 100 Unités
Classe thérapeutique : Rhumatologie
Principes actifs : Toxine botulinique de type A
Statut : Médicament soumis à prescription médicale
Laboratoire : Allergan
Sommaire
Indications
Posologie
Contre indications
Effets indésirables
Précautions et autres informations
Indications
- Adultes et enfants de plus de 12 ans :
. Troubles de l'oculomotricité : strabisme, paralysies oculomotrices récentes, myopathie thyroïdienne récente.
. Blépharospasme.
. Spasme hémifacial.
. Torticolis spasmodique.
. Hyperhidrose axillaire sévère ayant résisté aux traitements locaux et entraînant un retentissement psychologique et social important.
- Adultes :
Traitement symptomatique local de la spasticité (hyperactivité musculaire) des membres supérieurs et/ou inférieurs.
- Enfants de 2 ans et plus :
Traitement de la déformation dynamique du pied en équin chez les enfants présentant une spasticité due à une infirmité motrice cérébrale.
- Ce traitement médicamenteux doit être inclus dans une prise en charge globale multidisciplinaire (associant neurologue, pédiatre, médecin de médecine physique et de réadaptation, chirurgien orthopédiste...).
- NB : BOTOX doit être administré par des médecins spécialistes ayant déjà une bonne expérience de l'utilisation de la toxine dans ces indications.
Posologie
RECOMMANDATIONS GENERALES :
- Les doses recommandées de BOTOX ne sont pas interchangeables avec les autres préparations de toxines botuliniques. Elles sont exprimées en unités Allergan (voir mises en garde et précautions d'emploi).
- En cas d'antécédents d'atteinte neurogène de la face et chez les personnes âgées de plus de 70 ans, il est recommandé de réduire la posologie lors de la première séance d'injections (voir mises en garde et précautions d'emploi).
- Intervalle minimum entre 2 séances d'injections :
La présence d'anticorps dirigés contre la toxine botulinique de type A peut réduire l'efficacité du traitement par BOTOX. En conséquence, par mesure de prudence, un intervalle minimum entre 2 séances d'injections doit être respecté :
. 3 mois pour l'indication chez l'enfant infirme moteur cérébral.
. 4 mois pour l'indication dans l'hyperhidrose axillaire sévère ayant résisté aux traitements locaux.
. 3 mois dans l'indication traitement symptomatique local de la spasticité (hyperactivité musculaire) des membres supérieurs et/ou inférieurs chez l'adulte.
. 2 mois pour les autres indications chez l'adulte et l'enfant de plus de 12 ans.
- Technique d'injection :
. Voie intramusculaire stricte ou intradermique stricte suivant l'indication.
. Après désinfection de la peau, la dose de BOTOX diluée est injectée à l'aide d'une aiguille stérile de calibre adapté au muscle à injecter.
. Le guidage électromyographique peut augmenter la précision de l'injection : l'activité électrique enregistrée par la pointe de l'aiguille d'injection est utilisée comme guide pour le positionnement dans le muscle cible.
Ce guidage est impératif dans le traitement du strabisme.
BLEPHAROSPASME :
1) Préparation du produit :
Préparer une solution contenant 2,5 unités pour 0,1 ml (voir instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
2) Posologie et mode d'administration :
- Utiliser une aiguille de 27 ou 30 gauges.
- Le guidage électromyographique n'est pas nécessaire.
- La dose initiale recommandée pour le traitement du blépharospasme bilatéral est de 17,5 unités par oeil (0,70 ml) avec la répartition suivante :
. 7,5 unités (0,30 ml) répartis entre trois sites, (2,5 unités par site) : partie interne et externe du muscle orbiculaire de la paupière supérieure et partie externe prétarsienne du muscle orbiculaire de la paupière inférieure).
. 5 unités (0,20 ml) dans l'arcade sourcilière répartis en 2 sites (2,5 unités par site).
. 5 unités (0,20 ml) dans la zone faciale supérieure.
- La dose initiale ne doit pas dépasser 25 unités (1 ml) par orbiculaire.
- En général, l'effet des injections apparaît dans les trois jours et atteint un pic une ou deux semaines après le traitement. Chaque traitement dure environ trois mois, à la suite desquels la procédure peut être répétée indéfiniment. Lors des réinjections, la dose peut être augmentée jusqu'à deux fois si le résultat du traitement initial est considéré insuffisant (effet durant moins de deux mois).
- La dose totale ne doit pas dépasser 100 unités (4 ml) tous les 3 mois.
- Normalement, un traitement plus fréquent que tous les 3 mois n'apporte aucun bénéfice supplémentaire.
SPASME HEMIFACIAL :
- Les doses et la technique d'injection sont identiques à celles décrites pour le traitement du blépharospasme unilatéral.
- Un contrôle électromyographique peut être nécessaire pour identifier les petits muscles circulaires.
TORTICOLIS SPASMODIQUE :
1) Préparation du produit :
Préparer une solution contenant 10 unités pour 0,1 ml (voir instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
2) Posologie et mode d'administration :
- Utiliser une aiguille de 25, 27 ou 30 gauges.
- En cas de difficulté pour isoler les muscles à injecter, les injections doivent être faites avec assistance électromyographique.
- Les doses initiales recommandées sont les suivantes :
. sterno-cléido-mastoïdien : 40 à 75 unités (0,40 à 0,75 ml), splénius : 75 unités - 50 à 150 unités (0,75 ml) et trapèze : 75 unités - 50 à 100 unités (0,75 ml).
Pour chaque muscle, la dose sera répartie en 3 sites.
. élévateur de l'omoplate : 50 unités (0,5 ml) répartis en 2 sites ;
. scalène : 25 unités (0,25 ml).
- Ne pas administrer plus de 50 unités (0,50 ml) par site.
- Afin de minimiser le risque de dysphagie, le sterno-cléido-mastoïdien ne doit pas être injecté de façon bilatérale, ni recevoir plus de 100 unités (1 ml) par séance.
- La dose totale ne doit jamais excéder 200 unités (2 ml) lors de la première séance.
- Des ajustements pourront être faits lors des séances suivantes en fonction de la réponse initiale, sans dépasser une dose totale de 300 unités (3 ml) par séance.
- L'amélioration clinique apparaît généralement au cours des deux semaines suivant l'injection. Le bénéfice clinique apparaît généralement vers la sixième semaine après l'injection. Une nouvelle injection peut être faite lorsque l'effet clinique de l'injection précédente a diminué.
- La durée de l'effet bénéfique rapportée dans les essais cliniques a montré des variations importantes (de 2 à 33 semaines), avec une durée plus souvent rencontrée de 3 mois, le tout dépendant des symptômes et des réponses individuelles des patients. Le schéma posologique doit donc être adapté aux besoins de chaque patient.
- Les séances d'injection doivent être répétées en fonction de la durée de l'effet clinique. Elles seront toujours espacées d'au moins 2 mois.
STRABISME :
- Préparer une solution contenant 2,5 unités pour 0,1 ml (voir instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
- Utiliser une aiguille de 27 gauges longue de 40 mm.
- BOTOX est destiné à être injecté dans les muscles extra-oculaires en utilisant impérativement un guidage électromyographique (voir technique d'injection).
- Afin de préparer l'oeil à l'injection de BOTOX, il est recommandé d'administrer quelques minutes avant l'injection, quelques gouttes d'anesthésique local et de décongestionnant oculaire.
- Doses initiales : utiliser les plus petites doses pour le traitement de faibles déviations et les doses plus fortes pour les déviations importantes.
- Pour les muscles verticaux et pour le strabisme horizontal de moins de 20 dioptries prismatiques : 1,25 unités à 2,5 unités (de 0,05 ml à 0,10 ml) quel que soit le muscle.
- Pour le strabisme horizontal de 20 à 50 dioptries prismatiques : 2,5 unités à 5 unités (de 0,10 ml à 0,20 ml) quel que soit le muscle.
- Pour une paralysie persistante du nerf moteur externe d'un mois ou plus : 1,25 unités à 2,5 unités (0,05 ml à 0,10 ml) dans le droit interne.
- Les doses initiales de BOTOX dilué provoquent habituellement la paralysie des muscles injectés un à deux jours après l'injection : l'intensité de cette paralysie augmente pendant la première semaine. La paralysie dure 2 à 6 semaines et se résorbe progressivement pendant une période à peu près équivalente. Les sur-corrections durant plus de 6 mois sont rares.
- La moitié des patients environ aura besoin de doses supplémentaires, du fait d'une paralysie insuffisante du muscle après la dose initiale, ou à cause de facteurs mécaniques tels que d'importantes déviations ou restrictions, ou encore à cause du manque de fusion motrice binoculaire pour stabiliser l'alignement.
DEFORMATION DYNAMIQUE DU PIED EN EQUIN :
1) Préparation du produit :
Préparer une solution dont la dilution est adaptée à la posologie (voir instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
2) Posologie et mode d'administration :
- Utiliser une aiguille de 23-26 gauges.
- Deux injections sont faites dans chacun des chefs médial (interne) et latéral (externe) du muscle gastrocnémius (jumeau) atteint. La posologie est fonction du poids de l'enfant.
. En cas d'hémiplégie, la dose initiale recommandée est de 4 unités par kg injectée dans le membre concerné.
. En cas de diplégie, la dose initiale recommandée est de 6 unités par kg, à répartir entre les deux membres concernés.
- Il conviendra d'utiliser une dose initiale moindre chez les patients dont les muscles à traiter sont peu développés ou les patients qui nécessitent une injection concomitante dans un autre groupe musculaire.
- L'amélioration clinique survient généralement au cours des deux semaines qui suivent la séance d'injections. Les séances d'injections doivent être répétées en fonction de la durée de l'effet clinique. Elles seront toujours espacées d'au moins 3 mois. Une posologie adaptée devrait permettre d'obtenir un intervalle d'au moins 6 mois entre deux séances.
- En cas d'échec après une première séance, c'est-à-dire en l'absence, un mois après la séance, d'amélioration fonctionnelle significative par rapport au bilan initial, il y a lieu de :
. vérifier cliniquement, et au mieux par un examen électromyographique en milieu spécialisé, l'action de la toxine sur le muscle injecté,
. analyser les causes de l'échec :
mauvaise sélection des muscles injectés (évaluer le rôle du soléaire),
dose insuffisante,
technique d'injection inadaptée,
apparition d'une rétraction fixée,
muscles antagonistes trop faibles,
. réévaluer la pertinence du traitement par la toxine botulinique de type A (voir mises en garde et précautions d'emploi),
. en l'absence d'effet indésirable secondaire lors de la première injection, pratiquer une deuxième injection :
ajustée aux données de l'analyse de l'échec,
en utilisant un guidage électromyographique,
en respectant l'intervalle de 3 mois entre la première et la deuxième injection.
- Après échec d'une seconde séance d'injections, il n'y a pas lieu de poursuivre le traitement par la toxine botulinique de type A.
TRAITEMENT SYMPTOMATIQUE LOCAL DE LA SPASTICITE (HYPERACTIVITE MUSCULAIRE) DES MEMBRES SUPERIEURS ET/OU INFERIEURS :
1) Préparation du produit :
Préparer une solution dont la dilution est adaptée à la posologie (voir instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
2) Posologie et mode d'administration :
- Posologie :
La posologie exacte et le nombre de sites d'injection doivent être adaptés à chaque individu d'après la taille, le nombre et l'emplacement des muscles impliqués, la sévérité de la spasticité, la présence d'une faiblesse musculaire localisée et la réponse du patient au traitement précédent.
Posologies moyennes par muscle injecté :
Muscle : Dose totale ; Nombre de sites.
. Biceps brachial (Biceps brachii) : 100 à 200 U ; jusqu'à 4 sites.
. Fléchisseur commun profond des doigts (Flexor digitorum profundus) : 15 à 50 U ; 1 à 2 sites.
. Fléchisseur commun superficiel des doigts (Flexor digitorum sublimis) : 15 à 50 U ; 1 à 2 sites.
. Grand palmaire (Flexor carpi radialis) : 15 à 60 U ; 1 à 2 sites.
. Cubital antérieur (Flexor carpi ulnaris) : 10 à 50 U ; 1 à 2 sites.
. Adducteur du pouce (Adductor Pollicis) : 20 U ; 1 à 2 sites.
. Long fléchisseur propre du pouce (Flexor Pollicis Longus) : 20 U ; 1 à 2 sites.
. Tibial postérieur (Posterior tibialis) : 50 à 150 U ; 2 à 4 sites.
. Tibial antérieur (Anterior tibialis) : 70 à 100 U ; 2 sites.
. Soléaire (Soleus) : 50 à 200 U ; 2 à 4 sites.
. Long fléchisseur commun et court fléchisseur des orteils (Flexor digitorum longus/brevis) : 50 à 150 U ; 2 à 4 sites.
. Gastrocnémien chefs médial et latéral (Gastrocnemius medial/lateral) : 50 à 200 U ; 2 à 4 sites.
. Long extenseur de l'hallux (extensor hallucis longus) : 50 à 100 U ; 2 à 4 sites.
. Adducteurs (adductor) : 50 à 200 U ; 2 à 4 sites.
. lschiojambiers et sartorius (biceps femoris, semitendinosus, semimembranosus, sartorius) : 50 à 200 U ; 2 à 4 sites.
Dans les essais cliniques, la dose totale administrée par séance d'injection n'a pas dépassé 360 U. La dose totale doit être répartie entre les différents muscles sélectionnés.
En général, la dose totale maximale est fixée à 6 U/kg.
- Mode d'administration :
. Utiliser une aiguille de 25, 27 ou 30 gauges pour les muscles superficiels et une aiguille plus longue pour les muscles plus profonds.
. Afin d'isoler les muscles concernés, le recours à un guidage électromyographique ou à des techniques de stimulation nerveuse peut être utile. Le choix de plusieurs sites d'injection par muscle permet de répartir plus uniformément BOTOX et s'avère particulièrement utile pour les gros muscles.
. L'amélioration clinique de l'hypertonie musculaire s'observe généralement au cours des deux semaines qui suivent la séance d'injection. L'effet clinique maximal apparaît généralement quatre à six semaines après le traitement. Les séances d'injection pourront être répétées si besoin, mais seront toujours espacées d'au moins 3 mois.
. Dans les essais cliniques, l'intervalle entre 2 séances d'injections était compris entre 12 et 16 semaines.
. Lors d'une nouvelle séance d'injection, l'intensité et le type de spasticité musculaire peuvent conduire à modifier la dose de BOTOX administrée et le choix des muscles à injecter.
HYPERHIDROSE AXILLAIRE :
1) Préparation du produit :
Préparer une solution contenant 100 unités pour 4 ml ou 2,5 unités pour 0,1 ml (voir instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
2) Posologie et mode d'administration :
- Utiliser une aiguille de 30 gauges.
- Injecter 50 unités de BOTOX en injection intradermique stricte, réparties uniformément en plusieurs sites de la zone d'hyperhidrose de chaque aisselle distants les uns des autres d'environ 1 à 2 cm. La zone d'hyperhidrose peut être déterminée en utilisant des méthodes standardisées, comme la méthode de Minor (test à l'iode). Des doses différentes de 50 U par aisselle n'ont pas été étudiées et ne peuvent donc pas être recommandées.
- L'amélioration clinique survient en général au cours de la première semaine suivant la séance d'injection.
- La réponse au traitement est supérieure à 4 mois et peut durer 1 an ou plus. Des injections supplémentaires peuvent être faites lorsque l'effet clinique des injections précédentes diminue, mais il est nécessaire de respecter un délai minimum de 4 mois entre 2 séances d'injections.
Contre indications
CONTRE-INDIQUE :
La toxine botulinique est contre-indiquée dans les situations suivantes :
- myasthénie,
- allaitement : l'innocuité de l'utilisation de la toxine botulinique chez la femme allaitante n'a pas été démontrée. En conséquence l'allaitement est contre-indiqué pendant le traitement.
DECONSEILLE :
L'utilisation de la toxine botulinique est déconseillée dans les situations suivantes :
- pendant la grossesse : il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la toxine botulinique lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse. En conséquence, l'utilisation de la toxine botulinique est déconseillée pendant la grossesse. Cet élément ne constitue pas l'argument pour conseiller une interruption systématique de grossesse mais conduit à une attitude de prudence et à une surveillance prénatale soigneuse.
- en association avec les aminosides.
Effets indésirables
- Effets indésirables indépendants du site d'injection :
. Des effets indésirables liés à la diffusion de la toxine, à distance du site d'injection ont été très rarement rapportés (faiblesse musculaire excessive, dysphagie, pneumopathie d'inhalation, pouvant être fatales) (voir mises en garde et précautions d'emploi).
. Rares réactions allergiques générales (rash, érythème, prurit, réaction anaphylactique).
. Douleurs/brûlures au point d'injection, possibles quels que soient le site d'injection ou l'indication.
- Dans le traitement du blépharospasme et du spasme hémifacial :
. La diffusion au muscle releveur de la paupière peut entraîner un ptosis partiel ou complet, transitoire, d'une durée de 6 à 8 semaines.
. La diffusion aux muscles oculomoteurs peut entraîner une diplopie transitoire.
- Autres effets secondaires locaux possibles et de courte durée :
. Sécheresse oculaire, larmoiement, gonflement des paupières, photophobie.
. Kératite (voir mises en garde et précautions d'emploi).
- Dans le traitement du spasme hémifacial :
. lorsque les patients reçoivent une injection dans le muscle releveur de la commissure labiale en plus des injections pratiquées autour de la fente palpébrale, une chute de la commissure labiale est possible.
. risque de survenue de paralysie faciale.
- Dans le traitement du torticolis spasmodique, particulièrement en cas d'injection du sterno-cléido-mastoïdien, peuvent apparaître :
. une dysphagie, parfois sévère, avec possibilité de fausses routes pendant 2 à 4 semaines et risque de pneumopathie d'inhalation,
. une dysphonie,
. une diminution de la force des muscles du cou.
- Dans le traitement de la déformation dynamique du pied en équin chez l'enfant, une douleur locale a été notée lors de l'injection.
Dans les études cliniques, les effets indésirables liés au traitement ont été faibles à modérés. Ces effets sont transitoires et surviennent généralement dans la première semaine suivant l'injection.
Les effets indésirables les plus souvent signalés sont : chutes, douleur de la jambe, faiblesse de la jambe, faiblesse générale.
Pourcentage des patients ayant présenté ces effets au moins une fois au cours de l'essai (n = 215) :
. Chutes : 9,3%.
. Douleur de la jambe : 2,3%.
. Faiblesse locale : 2,3%.
. Faiblesse générale : 2,3%.
Les chutes peuvent être dues à une modification de position de la cheville et de la démarche et/ou à une faiblesse localisée. La faiblesse localisée correspond à l'action pharmacologique attendue après une injection de toxine botulinique.
Les autres effets indésirables liés au traitement (1% des patients) ont été : crampes de la jambe, fièvre, douleur du genou, douleur de la cheville, douleur au site d'injection après le traitement et léthargie. Certaines douleurs des muscles injectés proviennent de l'étirement inhabituel de ces muscles.
- Dans le traitement symptomatique local de la spasticité (hyperactivité musculaire) des membres supérieurs et/ou inférieurs :
Effets indésirables observés au cours des essais cliniques :
. Effets indésirables fréquents : douleurs aux points d'injection, douleurs des membres injectés, ecchymose, hypertonie, faiblesse musculaire,
. effets indésirables peu fréquents : arthralgie, asthénie, hémorragie, hyperesthésie, douleur, dépression, dermatite, céphalées, insomnies, malaise, nausées, prurit, éruption cutanée.
- Dans le traitement de l'hyperhidrose axillaire :
Une augmentation de la transpiration autre qu'axillaire a été rapportée chez 4,5% des patients dans le mois suivant l'injection, sans corrélation avec les sites anatomiques affectés. On a observé que ces effets disparaissent chez approximativement 30% des patients dans les 4 mois suivant l'injection.
- LA CONCENTRATION DE LA SOLUTION RECONSTITUEE DE BOTOX EST EXPRIMEE EN UNITES ALLERGAN.
ETANT DONNE L'ABSENCE D'HARMONISATION DES SYSTEMES D'UNITES POUR LES DIFFERENTES TOXINES BOTULINIQUES COMMERCIALISEES, IL EST NECESSAIRE DE FAIRE PREUVE D'UNE EXTREME PRUDENCE AU CAS OU LE PASSAGE D'UNE TOXINE BOTULINIQUE D'UN LABORATOIRE PHARMACEUTIQUE A LA TOXINE BOTULINIQUE D'UN AUTRE LABORATOIRE PHARMACEUTIQUE S'AVERERAIT NECESSAIRE.
RECOMMANDATIONS POUR LA RECONSTITUTION DU PRODUIT :
La préparation du produit doit être réalisée dans un local approprié et par du personnel expérimenté (voir instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
RECOMMANDATIONS EN CAS D'INCIDENT LORS DE LA MANIPULATION DE LA TOXINE :
En cas d'incident lors de la manipulation de la toxine, des mesures appropriées doivent être prises (voir instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
L'INJECTION DOIT ETRE REALISEE PAR UN MEDECIN SPECIALISTE AYANT UNE BONNE EXPERIENCE DE L'UTILISATION DE LA TOXINE BOTULINIQUE DANS LES INDICATIONS PREVUES PAR L'AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE.
- Il est recommandé d'utiliser des doses inférieures aux doses indiquées pour le traitement des patients de plus de 70 ans.
- L'existence d'antécédents d'atteinte neurogène de la face (paralysie faciale, polyradiculonévrite...) nécessite lors de la première injection, d'utiliser des doses égales au quart de la dose recommandée.
- Possibilité de formation d'anticorps dirigés contre la toxine botulinique et donc de résistance au traitement (voir posologie et mode d'administration).
- Les patients souffrant de blépharospasme peuvent avoir été sédentaires pendant un très long moment. En conséquence, lors d'un traitement par la toxique botulinique, il est nécessaire de leur conseiller une reprise d'activité progressive.
- Des effets indésirables, liés à la diffusion de la toxine à distance du site d'administration, ont été rapportés (voir effets indésirables), ayant conduit à de très rares cas de décès suite parfois à une dysphagie, une pneumopathie d'inhalation et/ou chez des patients ayant une asthénie significative.
Les patients traités à dose thérapeutique peuvent présenter une faiblesse musculaire excessive. Les patients souffrant de troubles neurologiques incluant des difficultés de déglutition sont plus à risque de présenter ces effets. Chez ces patients, le traitement devra être utilisé sous le contrôle d'un médecin spécialiste et uniquement si le bénéfice du traitement l'emporte sur le risque.
Les patients ayant des antécédents de dysphagie et de pneumopathie d'inhalation doivent être traités avec la plus grande précaution.
- Les patients et leur entourage doivent être avertis de la nécessité d'une prise en charge médicale immédiate en cas de troubles de la déglutition, de troubles du langage ou de troubles respiratoires.
- La diminution du clignement due à l'injection de la toxine botulinique dans le muscle orbiculaire peut conduire à une exposition prolongée de la cornée, à une lésion épithéliale persistante et à une ulcération de la cornée en particulier chez les patients ayant présenté une paralysie faciale. Dans ce cas, des mesures préventives et curatives doivent être prises.
- Dans la déformation dynamique du pied en équin chez les enfants présentant une infirmité motrice cérébrale, une évaluation fonctionnelle initiale précise doit être effectuée en milieu spécialisé. Elle permet :
. d'évaluer la pertinence de l'indication :
. spasticité prédominante,
. absence de faiblesse musculaire parfois masquée par l'hypertonie. Cette faiblesse pourrait être aggravée par une injection de toxine botulinique,
. absence de rétraction fixée importante ou de cicatrice post-chirurgicale rendant inutile une injection de toxine botulinique,
. de déterminer les différentes composantes du traitement (kinésithérapie, port d'attelles...),
. d'adapter le traitement en fonction de l'évolution du résultat de l'évaluation.
- Dans le traitement symptomatique local de la spasticité (hyperactivité musculaire) des membres supérieurs et/ou inférieurs, BOTOX n'a été étudié qu'en association avec les traitements habituels, et ne vise pas à les remplacer. Il est peu probable que BOTOX puisse améliorer la mobilité d'une articulation bloquée par une contracture fixée.
Interactions avec d'autres médicaments
ASSOCIATION DECONSEILLEE :
Aminosides :
Risque d'augmentation des effets de la toxine botulinique avec les aminosides (par extrapolation à partir des effets observés au cours du botulisme).
Utiliser un autre antibiotique.
Grossesse et allaitement
Grossesse :
Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal.
En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la toxine botulinique lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse.
En conséquence, l'utilisation de la toxine botulinique est déconseillée pendant la grossesse. Cet élément ne constitue pas l'argument pour conseiller une interruption systématique de grossesse mais conduit à une attitude de prudence et à une surveillance prénatale soigneuse.
Allaitement :
L'innocuité de l'utilisation de la toxine botulinique chez la femme allaitante n'a pas été démontrée. En conséquence l'allaitement est contre-indiqué pendant le traitement.
Effet sur la conduite de véhicules
L'attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques d'asthénie et de faiblesse musculaire liés à l'emploi de ce médicament, pouvant rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
Comment ça marche ?
- En raison de la nature du produit, aucune étude cinétique (ADME) n'a été conduite chez l'homme. Il y aurait peu de distribution systémique après administration de doses thérapeutiques. BOTOX serait métabolisé par des protéases.
- Des études cinétiques ont été réalisées en marquant la toxine avec l'iode 125.
- Lorsque le produit est injecté dans le muscle jumeau de rat, la radioactivité locale décline rapidement de telle façon que seulement 5% de la radioactivité persiste après 24 heures. La radioactivité n'apparaît pas au delà de 10 millimètres du chemin de l'aiguille. Des observations comparables ont été faites lors d'injections réalisées dans la partie supérieure de la paupière de lapin. On ne retrouve dans les urines que 7% du produit intact.
Esculape- Panacée
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Re: Le Botox
LE TRAITEMENT DES RIDES PAR LE BOTOX®
Dr Nicolas Evrard, Claire Lavarenne : 23/12/2009
Sommaire
De quoi s’agit-il ?
Pour atténuer les rides
Comment se déroule l’intervention...
Des effets secondaires
Combien de temps ça dure...
Quels prix ?
Quelle différence avec les...
Les injections de Botox® sont utilisées à des fins esthétiques pour atténuer certaines rides.
En plus de cette fiche, à lire notre dossier :
> Tout savoir sur le Botox® !
De quoi s’agit-il ?
Le Botox® est de la toxine botulinique, une neurotoxine qui a pour effet de bloquer la libération d’une substance chimique permettant au muscle de se contracter. Ainsi, ce produit vise à réduire les rides d’expression(rides du lion, pattes d’oie, front) par un relâchement de la tension musculaire. Cela explique pourquoi la toxine botulinique est aujourd'hui utilisée en chirurgie esthétique.
Pour atténuer les rides
Dans les années soixante-dix, le Botox® a commencé à être utilisé en ophtalmologie pour traiter certains strabismes et des clignements incontrôlés de l’œil.
Puis progressivement, les injections de toxine botulinique ont été réalisées à des fins esthétiques surtout par des chirurgiens plasticiens de façon locale pour atténuer les rides du visage. D’autres produits contiennent de la toxine botulinique : Vistabel®, Dysport® et le NeuroBloc® (de différents laboratoires pharmaceutiques). En théorie, seuls le Vistabel® et l'Azzalure® ont l’Autorisation de mise sur le marché pour une indication esthétique pour le traitement des rides situées entre les sourcils.
Comment se déroule l’intervention ?
Pour se préparer au mieux à ses injections de toxine botulinique, il faut éviter de prendre de l’aspirine quinze jours avant et quinze jours après l’intervention pour ne pas favoriser les risques de saignement. Si on prend des antibiotiques ou des anticoagulants, il faut le préciser au chirurgien. Il existe aussi des contre-indications à ces injections, parmi lesquelles :
• Certaines maladies neuromusculaires,
• Les femmes enceintes ou allaitant,
• Les cas d’hypersensibilité connus à la neurotoxine botulinique A.
L’intervention est réalisée en quelques minutes sans besoin d’anesthésie. Les injections sont faites avec une aiguille fine. On ressent la piqûre, mais sans douleur réelle.
Des effets secondaires
Après l’intervention, il peut arriver que l'on ressente des maux de tête. Il peut aussi survenir une sécheresse oculaire gênante notamment pour les porteurs de lentilles. Les injections provoquent parfois une gêne au sourire et à la déglutition. En 2007, nos autorités sanitaires (Afssaps) ont mis en garde les médecins et chirurgiens sur d’éventuels effets graves de la toxine botulinique risquant de diffuser à distance du point d’injection. Il a été demandé à ces praticiens de faire preuve de la plus grande prudence chez des personnes avec des antécédents de troubles de la déglutition, des problèmes neurologiques… En cas de fausse route, de troubles du langage, ou de problèmes respiratoires après ce traitement, il est conseillé de prendre rapidement un avis médical.
Combien de temps ça dure ?
Le traitement à base de toxine botulinique est un remède aux rides s'effectuant de manière progressive. Mieux vaut éviter de vouloir en faire trop dès les premières injections. Il est préférable de privilégier un traitement sur le long terme.
Les effets sont visibles et se stabilisent quelques jours après les injections. Les résultats tiennent de trois à six mois selon les personnes. Dès la deuxième séance d’injection, les résultats peuvent être plus durables, jusqu’à huit mois. Il ne faut pas rapprocher les injections à moins de trois mois les unes des autres.
Quels prix ?
Le prix d’une séance d’injection varie selon plusieurs critères. D’abord, il dépend du chirurgien à qui l’on s’adresse. Ensuite, il varie bien entendu en fonction de l’étendue de la zone à traiter. Pour les rides de la patte d’oie, il faut compter entre 200 et 300 euros. Pour le traitement de cette zone, plus des rides du lion et de celles du front, le prix est compris entre 300 et 600 euros.
Quelle différence avec les injections d'acide hyaluronique ?
L'acide hyaluronique est utilisé en médecine esthétique pour combler les rides (on trouve naturellement dans l'organisme et en particulier dans le derme de l'acide hyaluronique). On injecte dans la peau cette substance qui est dégradable avec le temps. En fait, pour avoir un effet à long terme, il faudra renouveler ce traitement au bout de plusieurs mois.
Sources : Société française de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique (SFCPRE) ; Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé.
Dr Nicolas Evrard, Claire Lavarenne : 23/12/2009
Sommaire
De quoi s’agit-il ?
Pour atténuer les rides
Comment se déroule l’intervention...
Des effets secondaires
Combien de temps ça dure...
Quels prix ?
Quelle différence avec les...
Les injections de Botox® sont utilisées à des fins esthétiques pour atténuer certaines rides.
En plus de cette fiche, à lire notre dossier :
> Tout savoir sur le Botox® !
De quoi s’agit-il ?
Le Botox® est de la toxine botulinique, une neurotoxine qui a pour effet de bloquer la libération d’une substance chimique permettant au muscle de se contracter. Ainsi, ce produit vise à réduire les rides d’expression(rides du lion, pattes d’oie, front) par un relâchement de la tension musculaire. Cela explique pourquoi la toxine botulinique est aujourd'hui utilisée en chirurgie esthétique.
Pour atténuer les rides
Dans les années soixante-dix, le Botox® a commencé à être utilisé en ophtalmologie pour traiter certains strabismes et des clignements incontrôlés de l’œil.
Puis progressivement, les injections de toxine botulinique ont été réalisées à des fins esthétiques surtout par des chirurgiens plasticiens de façon locale pour atténuer les rides du visage. D’autres produits contiennent de la toxine botulinique : Vistabel®, Dysport® et le NeuroBloc® (de différents laboratoires pharmaceutiques). En théorie, seuls le Vistabel® et l'Azzalure® ont l’Autorisation de mise sur le marché pour une indication esthétique pour le traitement des rides situées entre les sourcils.
Comment se déroule l’intervention ?
Pour se préparer au mieux à ses injections de toxine botulinique, il faut éviter de prendre de l’aspirine quinze jours avant et quinze jours après l’intervention pour ne pas favoriser les risques de saignement. Si on prend des antibiotiques ou des anticoagulants, il faut le préciser au chirurgien. Il existe aussi des contre-indications à ces injections, parmi lesquelles :
• Certaines maladies neuromusculaires,
• Les femmes enceintes ou allaitant,
• Les cas d’hypersensibilité connus à la neurotoxine botulinique A.
L’intervention est réalisée en quelques minutes sans besoin d’anesthésie. Les injections sont faites avec une aiguille fine. On ressent la piqûre, mais sans douleur réelle.
Des effets secondaires
Après l’intervention, il peut arriver que l'on ressente des maux de tête. Il peut aussi survenir une sécheresse oculaire gênante notamment pour les porteurs de lentilles. Les injections provoquent parfois une gêne au sourire et à la déglutition. En 2007, nos autorités sanitaires (Afssaps) ont mis en garde les médecins et chirurgiens sur d’éventuels effets graves de la toxine botulinique risquant de diffuser à distance du point d’injection. Il a été demandé à ces praticiens de faire preuve de la plus grande prudence chez des personnes avec des antécédents de troubles de la déglutition, des problèmes neurologiques… En cas de fausse route, de troubles du langage, ou de problèmes respiratoires après ce traitement, il est conseillé de prendre rapidement un avis médical.
Combien de temps ça dure ?
Le traitement à base de toxine botulinique est un remède aux rides s'effectuant de manière progressive. Mieux vaut éviter de vouloir en faire trop dès les premières injections. Il est préférable de privilégier un traitement sur le long terme.
Les effets sont visibles et se stabilisent quelques jours après les injections. Les résultats tiennent de trois à six mois selon les personnes. Dès la deuxième séance d’injection, les résultats peuvent être plus durables, jusqu’à huit mois. Il ne faut pas rapprocher les injections à moins de trois mois les unes des autres.
Quels prix ?
Le prix d’une séance d’injection varie selon plusieurs critères. D’abord, il dépend du chirurgien à qui l’on s’adresse. Ensuite, il varie bien entendu en fonction de l’étendue de la zone à traiter. Pour les rides de la patte d’oie, il faut compter entre 200 et 300 euros. Pour le traitement de cette zone, plus des rides du lion et de celles du front, le prix est compris entre 300 et 600 euros.
Quelle différence avec les injections d'acide hyaluronique ?
L'acide hyaluronique est utilisé en médecine esthétique pour combler les rides (on trouve naturellement dans l'organisme et en particulier dans le derme de l'acide hyaluronique). On injecte dans la peau cette substance qui est dégradable avec le temps. En fait, pour avoir un effet à long terme, il faudra renouveler ce traitement au bout de plusieurs mois.
Sources : Société française de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique (SFCPRE) ; Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé.
Esculape- Panacée
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Re: Le Botox
fleurs a écrit:le vaccin est soit le virus lui meme qui peut etre vivant mais dont l'effet est attenué par plusieurs passage en temperature elevée ou bien le virus mort soit les toxines secretées par la bacterie elle meme ayant subies klke reactions.Djoudi a écrit:exactement comme on tire un vaccin d'un virus
Quelqu'un ma dit que c'est faut ,parce qu'on ne "tire" pas un vaccin d'un virus. On se sert de l'Ag viral plus ou moins modifié pour stimuler l'immunité naturelle de l'individu vacciné !
le but du vaccin est de stimuler l'organisme a produire des anticorps contre le virus concerné hakda si on est infecté par ce virus le corps aura d anticorps et d lymphocytes memoires qui seront prets a produire une reaction immunitaire secondaire plus rapide et plus forte
Merci fleurs
Thiziri- Panacée
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Re: Le Botox
C'est plus clair toubib ,
mais demandes tu a ta femme au futur d'utiliser le botox ?
mais demandes tu a ta femme au futur d'utiliser le botox ?
Thiziri- Panacée
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Re: Le Botox
Elle n'en a pas besoin!!!!!!!!!!
Esculape- Panacée
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Re: Le Botox
hahaha
Aya un peu de serieux ici !!
Aya un peu de serieux ici !!
Thiziri- Panacée
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Re: Le Botox
???????????????????????????????????
Esculape- Panacée
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Re: Le Botox
Au futur ,aprés 30 ene année tu demandes a ta femme d'utiliser le botox ?
Thiziri- Panacée
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Re: Le Botox
NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Esculape- Panacée
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Re: Le Botox
za3ma un exemple qui aime beaucoup sa femme
Thiziri- Panacée
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Re: Le Botox
Elle n'en a pas besoin.....
Esculape- Panacée
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Re: Le Botox
Naturelement les rides existe a un certain temps ,ta femme n'est pas une extraterestre !!
Thiziri- Panacée
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Re: Le Botox
Tu tiens vraiment a ce qu'elle s'injecte du botox???
Esculape- Panacée
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